Plus de 125 milliards de F CFA : c'est le montant que le procureur du Pool judiciaire financier cherche à retracer. Cette situation a conduit à l’ouverture d’une information judiciaire, selon un communiqué officiel. Le procureur, Alioune Abdoulaye Sylla, a déclaré que « des investigations menées révèlent des mécanismes sophistiqués de blanchiment de capitaux, par le truchement de sociétés écrans qui auraient été utilisées pour des transactions suspectes. »
Un communiqué non officiel, ayant suscité de vives réactions sur la toile, cite à tort ou à raison le député-maire de Agnam, Farba Ngom, dont l’immunité parlementaire pourrait être levée prochainement. Interrogé par Source A, ce dernier a affirmé : « Je n’ai jamais été convoqué ou auditionné par cette juridiction. À l’heure où je vous parle, je n’ai encore reçu aucune convocation et je n’ai pas été informé d’une telle procédure. »
Par ailleurs, le procureur a précisé que cette affaire s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le financement du terrorisme, la prolifération des armes de destruction massive et les crimes financiers. En référence aux dispositions de l’article 66 de la loi n°2024-08, il a déclaré : « Le Parquet financier envisage l’ouverture d’une information judiciaire sous les chefs d’inculpation d’association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, escroquerie portant sur les deniers publics, corruption, trafic d’influence et abus de biens sociaux. »
Un communiqué non officiel, ayant suscité de vives réactions sur la toile, cite à tort ou à raison le député-maire de Agnam, Farba Ngom, dont l’immunité parlementaire pourrait être levée prochainement. Interrogé par Source A, ce dernier a affirmé : « Je n’ai jamais été convoqué ou auditionné par cette juridiction. À l’heure où je vous parle, je n’ai encore reçu aucune convocation et je n’ai pas été informé d’une telle procédure. »
Par ailleurs, le procureur a précisé que cette affaire s’inscrit dans le cadre de la lutte contre le financement du terrorisme, la prolifération des armes de destruction massive et les crimes financiers. En référence aux dispositions de l’article 66 de la loi n°2024-08, il a déclaré : « Le Parquet financier envisage l’ouverture d’une information judiciaire sous les chefs d’inculpation d’association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux, escroquerie portant sur les deniers publics, corruption, trafic d’influence et abus de biens sociaux. »