Pour la troisième fois, la Direction Général des Élections (DGE) a refusé à Ousmane SONKO, à travers son mandataire, le retrait de fiches de parrainages. C’est qui peut créer une insécurité judiciaire selon le président de Afrika Jom Center.
En effet, selon Alioune TINE, pour régler la situation et éviter des troubles, « la CENA doit intervenir pour demander à la DGE de respecter la décision de justice.
Il interpelle également le ministre de l’Intérieur Me Sidiki KABA, qui, selon lui, doit respecter la feuille de route que lui a confiée le Président Macky Sall pour créer, les conditions idoines d’une élection juste et équitable ».
«À quoi sert la loi électorale? La DGE chargée d’organiser l’élection présidentielle, comment peut-elle susciter la confiance des acteurs impliqués dans le processus électoral, si délibérément, il refuse d’appliquer une décision de justice enjoignant le préfet de réinscrire Ousmane SONKO sur les listes électorales. Cette situation crée objectivement une insécurité judiciaire, une insécurité sur les droits fondamentaux d’un candidat. (…)Il est désormais devant le mur avec le refus de son DGE d’appliquer la loi électorale. Il faut qu’il agisse, pour la crédibilité du processus électoral. On a besoin de sécurité juridique, démocratique et des droits humains », a-t-il déclaré.
Pour rappel, Ayib DAFFÉ, mandataire du candidat à la présidentielle Ousmane SONKO, a été empêché d’accéder à la DGE ce vendredi 20 octobre. Un important dispositif policier bloque tous les passages.
En effet, selon Alioune TINE, pour régler la situation et éviter des troubles, « la CENA doit intervenir pour demander à la DGE de respecter la décision de justice.
Il interpelle également le ministre de l’Intérieur Me Sidiki KABA, qui, selon lui, doit respecter la feuille de route que lui a confiée le Président Macky Sall pour créer, les conditions idoines d’une élection juste et équitable ».
«À quoi sert la loi électorale? La DGE chargée d’organiser l’élection présidentielle, comment peut-elle susciter la confiance des acteurs impliqués dans le processus électoral, si délibérément, il refuse d’appliquer une décision de justice enjoignant le préfet de réinscrire Ousmane SONKO sur les listes électorales. Cette situation crée objectivement une insécurité judiciaire, une insécurité sur les droits fondamentaux d’un candidat. (…)Il est désormais devant le mur avec le refus de son DGE d’appliquer la loi électorale. Il faut qu’il agisse, pour la crédibilité du processus électoral. On a besoin de sécurité juridique, démocratique et des droits humains », a-t-il déclaré.
Pour rappel, Ayib DAFFÉ, mandataire du candidat à la présidentielle Ousmane SONKO, a été empêché d’accéder à la DGE ce vendredi 20 octobre. Un important dispositif policier bloque tous les passages.