Après un meeting nocturne à Thiès, aux alentours de 1 h du matin, le convoi de Barthélémy Dias a emprunté la route nationale pour rejoindre Dakar. Arrivés près d’Allou Kagne, des agents de la BIP, lourdement armés, ont intercepté le cortège. Certains membres de la caravane ont tenté de faire demi-tour vers Thiès, sans succès. La voiture de la tête de liste nationale et de certains leaders a cependant réussi à s’échapper en empruntant un autre itinéraire. Tous les autres véhicules ont été immobilisés par un dispositif important du GMI venu renforcer la BIP.
Sur place, les membres de la garde rapprochée de Barthélémy Dias ainsi que plusieurs agents de la sécurité de la coalition ont été arrêtés. Certains ont été menottés, d’autres ligotés et plaqués au sol. Les policiers ont ensuite procédé à des fouilles, demandant aux journalistes et à certains militants de rebrousser chemin.
La Division des investigations criminelles (DIC) a ensuite exposé les armes retrouvées sur ces agents chargés de la sécurité des membres de la coalition 'Sàmm Sa Kàddu'. Les personnes interpellées ont été transférées à Saint-Louis, où elles sont accusées d'avoir attaqué et blessé plusieurs militants de PASTEF. Des questions persistent : d’où provient cet arsenal détenu par des civils ? Et comment de telles grenades ont-elles pu se retrouver entre leurs mains ?"
Sur place, les membres de la garde rapprochée de Barthélémy Dias ainsi que plusieurs agents de la sécurité de la coalition ont été arrêtés. Certains ont été menottés, d’autres ligotés et plaqués au sol. Les policiers ont ensuite procédé à des fouilles, demandant aux journalistes et à certains militants de rebrousser chemin.
La Division des investigations criminelles (DIC) a ensuite exposé les armes retrouvées sur ces agents chargés de la sécurité des membres de la coalition 'Sàmm Sa Kàddu'. Les personnes interpellées ont été transférées à Saint-Louis, où elles sont accusées d'avoir attaqué et blessé plusieurs militants de PASTEF. Des questions persistent : d’où provient cet arsenal détenu par des civils ? Et comment de telles grenades ont-elles pu se retrouver entre leurs mains ?"