L’Assemblée nationale sénégalaise a été, ce mercredi 2 avril 2025, le théâtre de vifs débats autour de l’interprétation de la loi d’amnistie 2024. Lors de son intervention, le député El Hadji Ababacar Tambédou, membre du parti PASTEF, a fermement plaidé en faveur de la justice pour les victimes des événements politiques et sociaux ayant marqué le pays entre 2021 et 2024.
« Nous devons garantir que les coupables soient identifiés et jugés, quel que soit leur grade au sein des forces de défense et de sécurité ou leur fonction au sein de l’État », a martelé le parlementaire devant l’hémicycle, dénonçant toute tentative d’impunité sous couvert d’amnistie.
Ces déclarations interviennent dans le cadre du vote de la proposition de loi interprétative de la loi d’amnistie 2024, portée par le député Amadou Ba (PASTEF). Ce texte vise à préciser les contours de la loi initiale, notamment en ce qui concerne les responsabilités des acteurs impliqués dans les violences.
Pour El Hadji Ababacar Tambédou, l’amnistie ne saurait être une entrave à la manifestation de la vérité. Il a insisté sur la nécessité d’établir les responsabilités et de garantir que le principe d’égalité devant la loi soit respecté, afin que justice soit rendue aux familles des victimes.
Le débat autour de cette loi demeure au cœur des discussions politiques et divise profondément les parlementaires. Tandis que certains y voient un moyen de pacifier la scène politique, d’autres, comme Tambédou, estiment que seule la justice permettra de tourner définitivement la page des événements tragiques de ces dernières années.
« Nous devons garantir que les coupables soient identifiés et jugés, quel que soit leur grade au sein des forces de défense et de sécurité ou leur fonction au sein de l’État », a martelé le parlementaire devant l’hémicycle, dénonçant toute tentative d’impunité sous couvert d’amnistie.
Ces déclarations interviennent dans le cadre du vote de la proposition de loi interprétative de la loi d’amnistie 2024, portée par le député Amadou Ba (PASTEF). Ce texte vise à préciser les contours de la loi initiale, notamment en ce qui concerne les responsabilités des acteurs impliqués dans les violences.
Pour El Hadji Ababacar Tambédou, l’amnistie ne saurait être une entrave à la manifestation de la vérité. Il a insisté sur la nécessité d’établir les responsabilités et de garantir que le principe d’égalité devant la loi soit respecté, afin que justice soit rendue aux familles des victimes.
Le débat autour de cette loi demeure au cœur des discussions politiques et divise profondément les parlementaires. Tandis que certains y voient un moyen de pacifier la scène politique, d’autres, comme Tambédou, estiment que seule la justice permettra de tourner définitivement la page des événements tragiques de ces dernières années.