Le gouvernement d’Ousmane Sonko a réagi suite aux déclarations du Secrétariat du Comité Central du Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT). Dans leur communiqué du 27 septembre, Samba Sy et ses camarades ont évoqué la possibilité de mesures d’austérité, incluant une baisse des salaires des fonctionnaires.
"Dans un document daté du 27 septembre 2024, intitulé 'Déclaration du Secrétariat du Comité Central' du Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT), il est attribué à l'État du Sénégal l'intention de réduire les salaires et les pensions dans la fonction publique. Pour soutenir ces propos, le document cite des extraits des allocutions du Président de la République et du Premier Ministre, concernant la rationalisation des dépenses publiques, notamment l'évolution incontrôlée de la masse salariale et la déstructuration du système de rémunération dans la fonction publique. Il apparaît que ce communiqué prête aux hautes autorités du pays des intentions qui n'ont jamais été exprimées dans leurs discours, sortis de leur contexte", a rectifié le porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Ndjekk SARRE.
En conséquence, le gouvernement dément formellement ces allégations infondées. "Le gouvernement met en garde les auteurs de ces manœuvres, soulignant que la désinformation et la diffusion de fausses informations dans le but de discréditer les institutions de la République, à des fins électoralistes, ne sauraient être tolérées."
Tout en encourageant un débat public contradictoire, inclusif et constructif sur les politiques publiques, le gouvernement appelle les auteurs de ces propos à faire preuve de sagesse et rappelle que l'État veillera à faire respecter la loi.
"Dans un document daté du 27 septembre 2024, intitulé 'Déclaration du Secrétariat du Comité Central' du Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT), il est attribué à l'État du Sénégal l'intention de réduire les salaires et les pensions dans la fonction publique. Pour soutenir ces propos, le document cite des extraits des allocutions du Président de la République et du Premier Ministre, concernant la rationalisation des dépenses publiques, notamment l'évolution incontrôlée de la masse salariale et la déstructuration du système de rémunération dans la fonction publique. Il apparaît que ce communiqué prête aux hautes autorités du pays des intentions qui n'ont jamais été exprimées dans leurs discours, sortis de leur contexte", a rectifié le porte-parole du gouvernement, Amadou Moustapha Ndjekk SARRE.
En conséquence, le gouvernement dément formellement ces allégations infondées. "Le gouvernement met en garde les auteurs de ces manœuvres, soulignant que la désinformation et la diffusion de fausses informations dans le but de discréditer les institutions de la République, à des fins électoralistes, ne sauraient être tolérées."
Tout en encourageant un débat public contradictoire, inclusif et constructif sur les politiques publiques, le gouvernement appelle les auteurs de ces propos à faire preuve de sagesse et rappelle que l'État veillera à faire respecter la loi.