BARTHÉLÉMY ET SON STATUT DE PISTOLERO
Du drame de 2011 à Mermoz/Sacré-Cœur ayant occasionné la mort d’une personne, Bathélémy en retient encore une légitime défense. Concernant son statut légendaire de porteur d’armes à feu, il n’y voit qu’une tentative de diabolisation de sa personne par une partie de la presse. L’invité du Grand Jury de ce dimanche continuera d’avoir les mêmes attitudes devant les mêmes situations. C’est notamment la Cour suprême du Sénégal, « suite à abus de pouvoir du ministre de l’intérieur Me Ousmane N'gom », qui lui reconnut ce droit de s’armer a-t-il dit. Le maire de Mermoz/Sacré-Cœur se voudra clair : « Ce qui s’est passé devant la mairie ce fameux jour de décembre 2011, si je n’avais pas d’arme à feu, je ne serais pas aujourd’hui dans vos locaux. On disait que Barthélémy Dias était protégé par le pouvoir et quand ce dossier s’était retrouvé en instruction, certaines personnes qui ont cherché à endormir les certains Sénégalais ont revu leurs positions. Je suis un justiciable. Je demande que ce procès soit équitable. A l’heure où je vous parle, je ne suis pas armé parce que je n’en sens pas le besoin. Si les conditions changent, vous pouvez compter sur moi. »
BARTHÉLÉMY SUR LE RÉFÉRENDUM
Pour le responsable socialiste, dire que le Oui a remporté le vote référendaire relève d’une aberration. Il s’agit plutôt, fait-il remarquer, de la victoire d’un camp, celui du mépris et du silence. « C’est le camp du mépris et celui du silence qui a gagné. On n’a pas dit non ( Khalifa Sall et lui) par rapport aux 15 points. Pour nous, il ne s’agissait pas de la Constitution, mais d’un problème de morale, d’éthique. J’ai fait la prison et d’autres jeunes aussi ont sacrifié leur vie pour que la parole publique soit respectée au Sénégal et qu’on respecte les Sénégalais en général. Le Président Macky Sall avait pris l’engagement de réduire son mandat, presque une dizaine de fois… Les juges constitutionnels sont tous nommés, alors que les députés sont tous élus ». Relativement aux sanctions qui devraient découler de son appel et de celui de Khalifa Sall à voter Non, le socialiste rappelle qu’il est inimaginable qu’ils soient exclus. « Nous ne partons nulle part et personne n’a le pouvoir de nous faire partir nulle part... » Pour ce qui concerne les violences notées récemment dans le Ps, Dias fils les a condamnées.
BARTHÉLÉMY SUR BBY, UN CANCER, SELON LUI
Barhélémy Dias est d’avis que la coalition Benno Bokk Yakaar est un trompe-l’œil et qu’elle est tout sauf une coalition. Elle fait endormir les Sénégalais. Surtout quand celle-ci est dirigée par un chef qui fait tout dans le calcul. L’exemple de l’appel au dialogue très superficiel, selon lui, est suffisant comme argument. « Macky refuse de dialoguer. C’est un refus stratégique. Il a refusé systématiquement de mettre en place une coalition. Bby n’est pas une coalition. Vous ne croyez pas que si on était en train de gérer ensemble, Khalifa Sall aurait des difficultés! Que moi j’aurais des autorités déconcentrées qui m’empêchent de travailler sur des titres fonciers qui appartiennent à la commune de Sacré-Cœur/Mermoz ? Que Aminata M'bengue N'diaye serait dénigrée par des gens de l’Apr qui disent qu’elle a appelé à voter Non lors du référendum ? Cette coalition, elle est malsaine. C’est un cancer qui est en train de se propager. Il faut l’arrêter! »
Interpellé sur le cas Abdoulaye Daouda, en tant que ministre de l’intérieur en perspective des prochaines joutes électorales, l’édile de Mermoz/Sacré-Cœur ne crie pas au scandale. « Le combat ce n’est pas le départ d’Abdoulaye Daouda Diallo. Je pense qu’Ousmane N'gom était un ministre de l’intérieur zélé. Je ne vois pas ce que je peux reprocher à monsieur Abdoulaye Daouda Diallo. »
BARTHÉLÉMY SUR L’ASSEMBLÉE NATIONALE
« Qu’est-ce qu’on a fait pour les Sénégalais ?», voilà une question que les députés devraient se poser. Et la réponse est sans appel, selon le député socialiste. « Rien ! » A en croire Barhélémy Dias, « la législature est médiocre. Quand vous avez des gens et qui ne savent pas pourquoi ils y sont, des députés qui font dans le ‘’griotisme’’ politique... ». Pour lui, « à l’Assemblée nationale, rien ne changera tant qu’on n’acceptera pas de mettre sur la table le règlement intérieur. »
Du drame de 2011 à Mermoz/Sacré-Cœur ayant occasionné la mort d’une personne, Bathélémy en retient encore une légitime défense. Concernant son statut légendaire de porteur d’armes à feu, il n’y voit qu’une tentative de diabolisation de sa personne par une partie de la presse. L’invité du Grand Jury de ce dimanche continuera d’avoir les mêmes attitudes devant les mêmes situations. C’est notamment la Cour suprême du Sénégal, « suite à abus de pouvoir du ministre de l’intérieur Me Ousmane N'gom », qui lui reconnut ce droit de s’armer a-t-il dit. Le maire de Mermoz/Sacré-Cœur se voudra clair : « Ce qui s’est passé devant la mairie ce fameux jour de décembre 2011, si je n’avais pas d’arme à feu, je ne serais pas aujourd’hui dans vos locaux. On disait que Barthélémy Dias était protégé par le pouvoir et quand ce dossier s’était retrouvé en instruction, certaines personnes qui ont cherché à endormir les certains Sénégalais ont revu leurs positions. Je suis un justiciable. Je demande que ce procès soit équitable. A l’heure où je vous parle, je ne suis pas armé parce que je n’en sens pas le besoin. Si les conditions changent, vous pouvez compter sur moi. »
BARTHÉLÉMY SUR LE RÉFÉRENDUM
Pour le responsable socialiste, dire que le Oui a remporté le vote référendaire relève d’une aberration. Il s’agit plutôt, fait-il remarquer, de la victoire d’un camp, celui du mépris et du silence. « C’est le camp du mépris et celui du silence qui a gagné. On n’a pas dit non ( Khalifa Sall et lui) par rapport aux 15 points. Pour nous, il ne s’agissait pas de la Constitution, mais d’un problème de morale, d’éthique. J’ai fait la prison et d’autres jeunes aussi ont sacrifié leur vie pour que la parole publique soit respectée au Sénégal et qu’on respecte les Sénégalais en général. Le Président Macky Sall avait pris l’engagement de réduire son mandat, presque une dizaine de fois… Les juges constitutionnels sont tous nommés, alors que les députés sont tous élus ». Relativement aux sanctions qui devraient découler de son appel et de celui de Khalifa Sall à voter Non, le socialiste rappelle qu’il est inimaginable qu’ils soient exclus. « Nous ne partons nulle part et personne n’a le pouvoir de nous faire partir nulle part... » Pour ce qui concerne les violences notées récemment dans le Ps, Dias fils les a condamnées.
BARTHÉLÉMY SUR BBY, UN CANCER, SELON LUI
Barhélémy Dias est d’avis que la coalition Benno Bokk Yakaar est un trompe-l’œil et qu’elle est tout sauf une coalition. Elle fait endormir les Sénégalais. Surtout quand celle-ci est dirigée par un chef qui fait tout dans le calcul. L’exemple de l’appel au dialogue très superficiel, selon lui, est suffisant comme argument. « Macky refuse de dialoguer. C’est un refus stratégique. Il a refusé systématiquement de mettre en place une coalition. Bby n’est pas une coalition. Vous ne croyez pas que si on était en train de gérer ensemble, Khalifa Sall aurait des difficultés! Que moi j’aurais des autorités déconcentrées qui m’empêchent de travailler sur des titres fonciers qui appartiennent à la commune de Sacré-Cœur/Mermoz ? Que Aminata M'bengue N'diaye serait dénigrée par des gens de l’Apr qui disent qu’elle a appelé à voter Non lors du référendum ? Cette coalition, elle est malsaine. C’est un cancer qui est en train de se propager. Il faut l’arrêter! »
Interpellé sur le cas Abdoulaye Daouda, en tant que ministre de l’intérieur en perspective des prochaines joutes électorales, l’édile de Mermoz/Sacré-Cœur ne crie pas au scandale. « Le combat ce n’est pas le départ d’Abdoulaye Daouda Diallo. Je pense qu’Ousmane N'gom était un ministre de l’intérieur zélé. Je ne vois pas ce que je peux reprocher à monsieur Abdoulaye Daouda Diallo. »
BARTHÉLÉMY SUR L’ASSEMBLÉE NATIONALE
« Qu’est-ce qu’on a fait pour les Sénégalais ?», voilà une question que les députés devraient se poser. Et la réponse est sans appel, selon le député socialiste. « Rien ! » A en croire Barhélémy Dias, « la législature est médiocre. Quand vous avez des gens et qui ne savent pas pourquoi ils y sont, des députés qui font dans le ‘’griotisme’’ politique... ». Pour lui, « à l’Assemblée nationale, rien ne changera tant qu’on n’acceptera pas de mettre sur la table le règlement intérieur. »