Selon plusieurs médias français, Boualem Sansal serait en captivité en Algérie depuis cinquante jours. Son arrestation, survenue à l’aéroport d’Alger le 16 novembre, avait immédiatement suscité une vive réprobation du Quai d’Orsay, puis de l’Élysée, qui avait exprimé son inquiétude pour « la liberté d’un grand écrivain ». Cependant, selon le panafricaniste Rachid Nekkaz, cette version est erronée : « L'écrivain algéro-français Boualem Sansal, traité comme un roi à l'hôpital algérien Mustapha Bacha, n'est pas en prison », a-t-il déclaré lors d’un live suivi par Exclusif.net.
Accompagné de son avocat, Me Abdelkader Chohra, Rachid Nekkaz s’est rendu à l’hôpital Mustapha Bacha à Alger. Il a confirmé que Boualem Sansal n’est pas incarcéré mais placé au service pénal de cet hôpital. Selon lui, l’écrivain bénéficie d’un traitement de luxe : Une chambre équipée de télévision, De la nourriture extérieure (viande, poisson, etc.) apportée par sa famille, Des visites familiales quotidiennes de 9h à 17h, Un accès à ses avocats chaque jour, Une prise en charge médicale 24h/24. « S’il était en prison, il n’aurait droit qu’à 20 minutes de visite familiale tous les 14 jours et à un couffin de 8 kg de nourriture deux fois par mois. Ce n’est pas le cas ici », insiste Rachid Nekkaz.
Une prise en charge exceptionnelle
Rachid Nekkaz a également souligné la qualité des soins dispensés au service pénal de l’hôpital, dirigé par le professeur Rachid Belhadj. Il s’appuie sur sa propre expérience : « En 2022 et 2023, alors que j’étais incarcéré à la prison d’El Harrach, j’ai bénéficié d’examens médicaux au même hôpital. Je peux témoigner de la qualité exceptionnelle des soins. »
Pour clarifier la situation, Rachid Nekkaz a mandaté son avocat, Me Chohra, afin de solliciter une autorisation officielle de visite auprès des autorités algériennes. L’objectif est d’informer l’opinion publique sur les conditions de séjour de Boualem Sansal.
Il conclut en dénonçant la campagne de désinformation menée, selon lui, par certains médias français : « L'Algérie respecte les conventions internationales relatives aux soins médicaux pour les prisonniers, quels que soient leurs délits. La France doit mettre fin immédiatement à cette campagne de désinformation diabolique et machiavélique qui la déshonore depuis près de deux mois », déplore-t-il. REGARDEZ
Accompagné de son avocat, Me Abdelkader Chohra, Rachid Nekkaz s’est rendu à l’hôpital Mustapha Bacha à Alger. Il a confirmé que Boualem Sansal n’est pas incarcéré mais placé au service pénal de cet hôpital. Selon lui, l’écrivain bénéficie d’un traitement de luxe : Une chambre équipée de télévision, De la nourriture extérieure (viande, poisson, etc.) apportée par sa famille, Des visites familiales quotidiennes de 9h à 17h, Un accès à ses avocats chaque jour, Une prise en charge médicale 24h/24. « S’il était en prison, il n’aurait droit qu’à 20 minutes de visite familiale tous les 14 jours et à un couffin de 8 kg de nourriture deux fois par mois. Ce n’est pas le cas ici », insiste Rachid Nekkaz.
Une prise en charge exceptionnelle
Rachid Nekkaz a également souligné la qualité des soins dispensés au service pénal de l’hôpital, dirigé par le professeur Rachid Belhadj. Il s’appuie sur sa propre expérience : « En 2022 et 2023, alors que j’étais incarcéré à la prison d’El Harrach, j’ai bénéficié d’examens médicaux au même hôpital. Je peux témoigner de la qualité exceptionnelle des soins. »
Pour clarifier la situation, Rachid Nekkaz a mandaté son avocat, Me Chohra, afin de solliciter une autorisation officielle de visite auprès des autorités algériennes. L’objectif est d’informer l’opinion publique sur les conditions de séjour de Boualem Sansal.
Il conclut en dénonçant la campagne de désinformation menée, selon lui, par certains médias français : « L'Algérie respecte les conventions internationales relatives aux soins médicaux pour les prisonniers, quels que soient leurs délits. La France doit mettre fin immédiatement à cette campagne de désinformation diabolique et machiavélique qui la déshonore depuis près de deux mois », déplore-t-il. REGARDEZ