En réponse à l’article de «Les Echos» accusant Karim Wade de bloquer totalement le fonctionnement du Pds, Me Wade s’est fendu d’un communiqué pour annoncer le remplacement de Cheikh Tidiane Seck et Abdou Aziz Diop, respectivement président et secrétaire général de la Fédération nationale des cadres libéraux, au motif que ces derniers sont tous les deux «démissionnaires».
Faux, rétorquent les concernés, à travers un communiqué publié quelques heures après celui de Wade. «Vous ne pouvez pas nous prêter des propos ou des actes dont nous ne sommes pas les auteurs. Nous n’avons jamais démissionné de nos postes respectifs et nous ne comptons pas le faire», martèlent-ils. Non sans préciser que c’est «par voie de presse» qu’ils ont appris les changements intervenus à la tête de la Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) et les concernant directement.
Cheikh Seck et Aziz Diop réaffirment leur ancrage dans le Pds
Dès lors, Cheikh Seck et Abdou Aziz Diop clament à qui veut les entendre qu’ils ne bougeront pas de leurs postes et vont poursuivre leur agenda, tout en empêchant toute caporalisation de la Fncl par des karimistes. «Tout en vous réaffirmant notre engagement et notre ancrage dans le Parti démocratique sénégalais, nous prenons acte de votre décision et vous informons de notre ferme volonté d’œuvre pour un large rassemblement de tous les cadres dans l’unité et la diversité pour continuer le travail entamé par la Fncl depuis sa création en 2011. Nous continuons d’exécuter ce travail en évitant qu’il y ait une mainmise sur notre structure d'autres cadres issus de la Génération du concret».
«Wade cautionne, encore une fois, la violation des textes du parti…»
Et ils se sentent d’autant plus dans leurs droits et dans la légalité, que la supposée assemblée générale qui a décidé de leur remplacement a été une véritable forfaiture et une entorse aux textes du Pds. «L’assemblée générale visée dans votre acte en date du 19 août 2019 est une assemblée générale illégale, fractionniste parce que convoquée et présidée par des personnes non habilitées à cet effet», affirment-ils. Et de regretter que par sa décision d’hier, Me Wade «cautionne, encore une fois, la violation des textes du parti installant aussi bien le secrétariat national que la Fncl dans l’illégalité statutaire et l’illégitimité politique». Mais ils ne comptent pas se laisser faire. «Le Pds reste notre parti et nous ne laisserons pas cette œuvre collective détruite par ceux qui veulent transformer le parti, les cadres et les militants authentiques en de vulgaires souteneurs», avertissent-ils.
Faux, rétorquent les concernés, à travers un communiqué publié quelques heures après celui de Wade. «Vous ne pouvez pas nous prêter des propos ou des actes dont nous ne sommes pas les auteurs. Nous n’avons jamais démissionné de nos postes respectifs et nous ne comptons pas le faire», martèlent-ils. Non sans préciser que c’est «par voie de presse» qu’ils ont appris les changements intervenus à la tête de la Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) et les concernant directement.
Cheikh Seck et Aziz Diop réaffirment leur ancrage dans le Pds
Dès lors, Cheikh Seck et Abdou Aziz Diop clament à qui veut les entendre qu’ils ne bougeront pas de leurs postes et vont poursuivre leur agenda, tout en empêchant toute caporalisation de la Fncl par des karimistes. «Tout en vous réaffirmant notre engagement et notre ancrage dans le Parti démocratique sénégalais, nous prenons acte de votre décision et vous informons de notre ferme volonté d’œuvre pour un large rassemblement de tous les cadres dans l’unité et la diversité pour continuer le travail entamé par la Fncl depuis sa création en 2011. Nous continuons d’exécuter ce travail en évitant qu’il y ait une mainmise sur notre structure d'autres cadres issus de la Génération du concret».
«Wade cautionne, encore une fois, la violation des textes du parti…»
Et ils se sentent d’autant plus dans leurs droits et dans la légalité, que la supposée assemblée générale qui a décidé de leur remplacement a été une véritable forfaiture et une entorse aux textes du Pds. «L’assemblée générale visée dans votre acte en date du 19 août 2019 est une assemblée générale illégale, fractionniste parce que convoquée et présidée par des personnes non habilitées à cet effet», affirment-ils. Et de regretter que par sa décision d’hier, Me Wade «cautionne, encore une fois, la violation des textes du parti installant aussi bien le secrétariat national que la Fncl dans l’illégalité statutaire et l’illégitimité politique». Mais ils ne comptent pas se laisser faire. «Le Pds reste notre parti et nous ne laisserons pas cette œuvre collective détruite par ceux qui veulent transformer le parti, les cadres et les militants authentiques en de vulgaires souteneurs», avertissent-ils.