Le Premier Ministre a détaillé la feuille de route gouvernementale lors du Conseil des ministres du mercredi 8 janvier 2025, soulignant la continuité des actions gouvernementales inscrites dans le cadre de la Vision Sénégal 2050. Ousmane Sonko a donné plusieurs instructions à certains de ses ministres.
Dans une démarche de rationalisation des institutions, le Premier Ministre a chargé le Ministre des Finances et du Budget de veiller à la mise en œuvre rapide du processus de liquidation du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil économique, social et environnemental (CESE), suite à leur suppression récente.
Bien qu’ils acceptent la dissolution de leur institution, les membres du HCCT revendiquent le respect de leurs droits et le règlement de leurs salaires et indemnités. Samba Ndong a martelé : « Nous sommes dans un État de droit. Nous reconnaissons le pouvoir du Président et de l’Assemblée nationale à dissoudre cette institution, et nous acceptons leur vision politique. Mais nous exigeons également que nos droits soient respectés. Les membres du Haut Conseil ont un mandat de cinq ans. Ce mandat ne peut pas être jeté à la poubelle comme si nous étions des moins que rien. Nous ne mendions pas, nous réclamons simplement ce qui nous revient. »
Le 14 décembre, le ministre de la Justice a défendu devant les députés les projets de loi visant à réviser la Constitution et à supprimer le Conseil économique, social et environnemental (CESE) ainsi que le Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT). Il a souligné l’urgence de rationaliser les institutions pour assurer une gouvernance plus efficace et adaptée aux exigences actuelles. La proposition a été largement approuvée, avec 134 députés en faveur de la suppression des deux institutions, 8 abstentions et 2 voix contre. Cette réforme marque une rupture dans les approches de gouvernance, entraînant l’abrogation des lois régissant le CESE et le HCCT.
Dans une démarche de rationalisation des institutions, le Premier Ministre a chargé le Ministre des Finances et du Budget de veiller à la mise en œuvre rapide du processus de liquidation du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT) et du Conseil économique, social et environnemental (CESE), suite à leur suppression récente.
Bien qu’ils acceptent la dissolution de leur institution, les membres du HCCT revendiquent le respect de leurs droits et le règlement de leurs salaires et indemnités. Samba Ndong a martelé : « Nous sommes dans un État de droit. Nous reconnaissons le pouvoir du Président et de l’Assemblée nationale à dissoudre cette institution, et nous acceptons leur vision politique. Mais nous exigeons également que nos droits soient respectés. Les membres du Haut Conseil ont un mandat de cinq ans. Ce mandat ne peut pas être jeté à la poubelle comme si nous étions des moins que rien. Nous ne mendions pas, nous réclamons simplement ce qui nous revient. »
Le 14 décembre, le ministre de la Justice a défendu devant les députés les projets de loi visant à réviser la Constitution et à supprimer le Conseil économique, social et environnemental (CESE) ainsi que le Haut Conseil des collectivités territoriales (HCCT). Il a souligné l’urgence de rationaliser les institutions pour assurer une gouvernance plus efficace et adaptée aux exigences actuelles. La proposition a été largement approuvée, avec 134 députés en faveur de la suppression des deux institutions, 8 abstentions et 2 voix contre. Cette réforme marque une rupture dans les approches de gouvernance, entraînant l’abrogation des lois régissant le CESE et le HCCT.