Les faits remontent à janvier 2011 lors du soulèvement populaire contre Hosni Mobarak. Selon l’accusation, des membres du mouvement islamiste palestinien Hamas et du Hezbollah libanais ont franchi la frontière égyptienne à partir de Gaza pour attaquer 200 postes de police et les prisons où étaient enfermés les Frères musulmans.
Mahmoud Ezzat a été accusé avec d’autres hauts cadres et membres des Frères musulmans d’avoir fourni des informations au Hamas et au Hezbollah pour accomplir « leurs actes de terrorisme et de sabotage » qui ont entraîné la mort de dizaines de policiers et de militaires.
Jusqu’à la destitution du président Mohammed Morsi, alors leader des Frères musulmans, en juillet 2013, ces actes étaient considérés comme « héroïques ». En juin 2015, Mahmoud Ezzat avait été condamné à mort par contumace pour « intelligence avec des organisations étrangères » et « actes de terrorisme ». Le procès qui vient de se terminer a commencé après l’arrestation de Mahmoud Ezzat en 2020. En avril 2021, il avait déjà été condamné à perpétuité pour « incitation au meurtre » et pour avoir « fourni des armes » à des manifestants, selon l'accusation.
Mahmoud Ezzat a été accusé avec d’autres hauts cadres et membres des Frères musulmans d’avoir fourni des informations au Hamas et au Hezbollah pour accomplir « leurs actes de terrorisme et de sabotage » qui ont entraîné la mort de dizaines de policiers et de militaires.
Jusqu’à la destitution du président Mohammed Morsi, alors leader des Frères musulmans, en juillet 2013, ces actes étaient considérés comme « héroïques ». En juin 2015, Mahmoud Ezzat avait été condamné à mort par contumace pour « intelligence avec des organisations étrangères » et « actes de terrorisme ». Le procès qui vient de se terminer a commencé après l’arrestation de Mahmoud Ezzat en 2020. En avril 2021, il avait déjà été condamné à perpétuité pour « incitation au meurtre » et pour avoir « fourni des armes » à des manifestants, selon l'accusation.