
Les élections pour le Conseil de la FIFA, tenues ce 12 mars 2025 en marge de l’Assemblée générale extraordinaire de la Confédération Africaine de Football (CAF), ont livré leur verdict. Si certains poids lourds du football africain ont conforté leur position, d’autres, à l’image d’Augustin Senghor, président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), ont essuyé un revers marquant.
Avec seulement 13 voix obtenues, Augustin Senghor n’a pas réussi à se frayer un chemin vers le Conseil de la FIFA. Cette contre-performance, bien que pressentie face à des adversaires mieux ancrés politiquement, souligne un affaiblissement de son influence sur la scène continentale.
Longtemps considéré comme une figure montante du football africain, notamment après sa candidature à la présidence de la CAF en 2021, Senghor semblait pourtant bien placé pour décrocher un siège. Son rôle clé dans l’essor du football sénégalais, avec les récents succès des Lions de la Teranga sur la scène africaine, lui offrait une légitimité. Mais visiblement, cela n’a pas suffi pour convaincre les votants.
Une élection dominée par Lekjaa et des surprises inattendues
Dans une course où le Marocain Fouzi Lekjaa a été réélu avec 49 voix, consolidant ainsi son influence, et où l’Égyptien Hany Abourida a également conservé son siège, la surprise est venue des élections de Djibrilla Hima Hamidou (Niger) et Hassan Waberi (Djibouti), qui ont devancé des candidats plus attendus comme Yacine Idriss Diallo (Côte d’Ivoire) et Senghor lui-même.
Ce scrutin a démontré que le jeu politique au sein des instances du football africain est plus complexe que jamais. L’échec d’Augustin Senghor pose des questions sur son avenir au sein de la gouvernance du football continental et international. S’il reste un acteur incontournable du football sénégalais, son influence au-delà des frontières semble aujourd’hui en recul.
Avec ce revers, l’heure est désormais à l’analyse pour le président de la FSF, qui devra rebondir et repenser son positionnement au sein du paysage footballistique africain.
Avec seulement 13 voix obtenues, Augustin Senghor n’a pas réussi à se frayer un chemin vers le Conseil de la FIFA. Cette contre-performance, bien que pressentie face à des adversaires mieux ancrés politiquement, souligne un affaiblissement de son influence sur la scène continentale.
Longtemps considéré comme une figure montante du football africain, notamment après sa candidature à la présidence de la CAF en 2021, Senghor semblait pourtant bien placé pour décrocher un siège. Son rôle clé dans l’essor du football sénégalais, avec les récents succès des Lions de la Teranga sur la scène africaine, lui offrait une légitimité. Mais visiblement, cela n’a pas suffi pour convaincre les votants.
Une élection dominée par Lekjaa et des surprises inattendues
Dans une course où le Marocain Fouzi Lekjaa a été réélu avec 49 voix, consolidant ainsi son influence, et où l’Égyptien Hany Abourida a également conservé son siège, la surprise est venue des élections de Djibrilla Hima Hamidou (Niger) et Hassan Waberi (Djibouti), qui ont devancé des candidats plus attendus comme Yacine Idriss Diallo (Côte d’Ivoire) et Senghor lui-même.
Ce scrutin a démontré que le jeu politique au sein des instances du football africain est plus complexe que jamais. L’échec d’Augustin Senghor pose des questions sur son avenir au sein de la gouvernance du football continental et international. S’il reste un acteur incontournable du football sénégalais, son influence au-delà des frontières semble aujourd’hui en recul.
Avec ce revers, l’heure est désormais à l’analyse pour le président de la FSF, qui devra rebondir et repenser son positionnement au sein du paysage footballistique africain.