La nomination d’Aoua Bocar Ly au Collège du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) continue de susciter de vives réactions au sein de la classe politique et de l’opinion publique. Parmi les voix qui s’élèvent, celle du député Guy Marius Sagna, membre engagé de l'Assemblée nationale, ne passe pas inaperçue.
Dans une déclaration sans ambiguïté, l'activiste Guy Marius Sagna a exprimé son indignation face à la désignation d’une personnalité qu’il juge incompatible avec les valeurs du projet politique porté par les nouvelles autorités.
"Un Sénégal divisé sur une base inflammable"
Le député a d’abord rappelé un principe fondamental : la cohésion nationale. "Nous ne pouvons pas confier le projet à des concitoyens dont le plan était que nous soyons peut-être en ce moment en plein deuxième tour de l'élection présidentielle et sans candidat", a-t-il affirmé, faisant allusion à la proximité d’Aoua Bocar Ly avec le régime de l’ancien président Macky Sall.
Il a également dénoncé ce qu’il considère comme une promotion de la division nationale sur une base ethnique, un sujet qu’il qualifie de "dangereux et inflammable". Pour Guy Marius Sagna, la quête d’un Sénégal souverain, juste et prospère ne peut se réaliser qu’à travers l’unité nationale.
Malgré son opposition à cette nomination, le député prône une réponse mesurée. "C'est excessif de demander la démission d'un ministre pour cela", a-t-il déclaré, appelant toutefois à une correction rapide de cette erreur.
Deux solutions sont envisagées : soit Aoua Bocar Ly démissionne, soit elle est retirée de la liste des membres du CNRA. "Ensemble, nous vaincrons", a conclu Guy Marius Sagna, réaffirmant sa foi en la capacité des nouvelles autorités et des citoyens à préserver l’unité nationale tout en respectant les principes fondamentaux du projet politique en cours.
Cette affaire relance le débat sur les critères de nomination aux postes de responsabilité dans un contexte de transition politique. La nomination d’Aoua Bocar Ly, perçue comme un faux pas par certains, met en lumière les défis auxquels le Sénégal doit faire face pour renforcer la confiance des citoyens dans les nouvelles autorités.
Alors que l’indignation enfle sur les réseaux sociaux et dans les cercles politiques, la réponse des autorités sera scrutée de près, car elle pourrait constituer un test de leur engagement envers les valeurs de souveraineté, de justice et de prospérité prônées par le nouveau régime.
Dans une déclaration sans ambiguïté, l'activiste Guy Marius Sagna a exprimé son indignation face à la désignation d’une personnalité qu’il juge incompatible avec les valeurs du projet politique porté par les nouvelles autorités.
"Un Sénégal divisé sur une base inflammable"
Le député a d’abord rappelé un principe fondamental : la cohésion nationale. "Nous ne pouvons pas confier le projet à des concitoyens dont le plan était que nous soyons peut-être en ce moment en plein deuxième tour de l'élection présidentielle et sans candidat", a-t-il affirmé, faisant allusion à la proximité d’Aoua Bocar Ly avec le régime de l’ancien président Macky Sall.
Il a également dénoncé ce qu’il considère comme une promotion de la division nationale sur une base ethnique, un sujet qu’il qualifie de "dangereux et inflammable". Pour Guy Marius Sagna, la quête d’un Sénégal souverain, juste et prospère ne peut se réaliser qu’à travers l’unité nationale.
Malgré son opposition à cette nomination, le député prône une réponse mesurée. "C'est excessif de demander la démission d'un ministre pour cela", a-t-il déclaré, appelant toutefois à une correction rapide de cette erreur.
Deux solutions sont envisagées : soit Aoua Bocar Ly démissionne, soit elle est retirée de la liste des membres du CNRA. "Ensemble, nous vaincrons", a conclu Guy Marius Sagna, réaffirmant sa foi en la capacité des nouvelles autorités et des citoyens à préserver l’unité nationale tout en respectant les principes fondamentaux du projet politique en cours.
Cette affaire relance le débat sur les critères de nomination aux postes de responsabilité dans un contexte de transition politique. La nomination d’Aoua Bocar Ly, perçue comme un faux pas par certains, met en lumière les défis auxquels le Sénégal doit faire face pour renforcer la confiance des citoyens dans les nouvelles autorités.
Alors que l’indignation enfle sur les réseaux sociaux et dans les cercles politiques, la réponse des autorités sera scrutée de près, car elle pourrait constituer un test de leur engagement envers les valeurs de souveraineté, de justice et de prospérité prônées par le nouveau régime.