Me Pape Mamaille Diockou, avocat et président du Mouvement Sénégal NAFA, membre de la majorité présidentielle, a appelé à l’adoption d’une loi de moralisation de la vie publique au Sénégal.
"Chaque jour on apprend des scandales impliquant soit nos élus, soit nos institutions. Au moment où le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice Ousmane Diagne, fait face aux députés pour la réforme de notre texte fondamental avec la suppression du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) et du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), il serait urgent de penser à l’adoption d’une grande Loi relative à la Moralisation de la vie publique au Sénégal : pour redonner confiance dans la vie démocratique et aux institutions !" a déclaré Me Diockou.
Il a souligné que la confiance des citoyens dans leurs élus et institutions a été profondément ébranlée par des pratiques nuisibles, qui ont créé une fracture sociale au fil des décennies. Selon lui, cette situation a provoqué "une profonde exaspération des Sénégalais", qui demandent désormais la moralisation de la vie publique comme une priorité nationale.
Me Diockou a également exprimé son optimisme quant à l’arrivée au pouvoir du Président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko, notant que leurs premiers actes sont « rassurants ». Il a salué le non-cumul des mandats, le respect des décisions de justice, ainsi que les efforts de transparence qui ont été entrepris. Toutefois, il a insisté sur la nécessité de « accélérer la cadence » pour répondre pleinement aux attentes des Sénégalais, citant la célèbre expression d’Aminata Touré pour encourager le gouvernement à aller plus loin.
"Vive le Sénégal, Vive le Jub Jubbal Jubbanti !" a-t-il conclu, exprimant ainsi son soutien à un renouveau dans la gouvernance et la gestion des affaires publiques au Sénégal.
"Chaque jour on apprend des scandales impliquant soit nos élus, soit nos institutions. Au moment où le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice Ousmane Diagne, fait face aux députés pour la réforme de notre texte fondamental avec la suppression du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) et du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (HCCT), il serait urgent de penser à l’adoption d’une grande Loi relative à la Moralisation de la vie publique au Sénégal : pour redonner confiance dans la vie démocratique et aux institutions !" a déclaré Me Diockou.
Il a souligné que la confiance des citoyens dans leurs élus et institutions a été profondément ébranlée par des pratiques nuisibles, qui ont créé une fracture sociale au fil des décennies. Selon lui, cette situation a provoqué "une profonde exaspération des Sénégalais", qui demandent désormais la moralisation de la vie publique comme une priorité nationale.
Me Diockou a également exprimé son optimisme quant à l’arrivée au pouvoir du Président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko, notant que leurs premiers actes sont « rassurants ». Il a salué le non-cumul des mandats, le respect des décisions de justice, ainsi que les efforts de transparence qui ont été entrepris. Toutefois, il a insisté sur la nécessité de « accélérer la cadence » pour répondre pleinement aux attentes des Sénégalais, citant la célèbre expression d’Aminata Touré pour encourager le gouvernement à aller plus loin.
"Vive le Sénégal, Vive le Jub Jubbal Jubbanti !" a-t-il conclu, exprimant ainsi son soutien à un renouveau dans la gouvernance et la gestion des affaires publiques au Sénégal.