Lors de leur 66ᵉ session ordinaire tenue à Abuja, les chefs d’État de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont pris une décision historique qui marque un tournant décisif dans la mise en œuvre de l’ECO, la future monnaie unique de la région.
Les dirigeants ont adopté un ensemble de critères rigoureux qui serviront à sélectionner les premiers États membres éligibles pour adopter l’ECO. Ces critères, élaborés par un comité d’experts, sont destinés à garantir la viabilité économique de la nouvelle monnaie et à assurer une transition en douceur. Cette étape clé fait partie du processus visant à créer une zone monétaire intégrée et stable, à même de soutenir le développement économique durable dans toute la région.
Le plan de financement de l’ECO, qui a également été approuvé lors de cette session, détaille les contributions financières de chaque État membre ainsi que les sources de financement additionnelles nécessaires. Cette mobilisation des ressources est cruciale pour la mise en place des réformes économiques et structurelles indispensables au succès du projet.
L’un des enjeux majeurs soulevés par les chefs d’État concerne la nécessité de diversifier les économies des pays de la région. Une économie plus diversifiée, selon les dirigeants, est essentielle pour renforcer la résilience de la zone monétaire face aux chocs externes et garantir la stabilité des prix. "Nous devons travailler ensemble pour construire une union économique plus forte et plus résiliente", a déclaré un responsable, soulignant l’importance stratégique de l’intégration monétaire pour la région.
En parallèle de la mise en place de l’ECO, les chefs d’État ont également abordé la question de l’opérationnalisation des institutions financières régionales. Ces institutions joueront un rôle fondamental dans la gestion de la nouvelle monnaie et la supervision du système bancaire. La réussite de l’ECO dépendra largement de leur capacité à assurer une gestion transparente et efficace du système financier régional.
Avec l’ECO, la CEDEAO vise à créer un marché commun plus intégré, favorisant ainsi les échanges commerciaux, l’investissement et la croissance économique. En renforçant les liens économiques au sein de la région, l’ECO devrait également accroître le poids politique et économique de l’Afrique de l’Ouest sur la scène internationale.
La décision prise à Abuja témoigne de l’engagement des États membres de la CEDEAO à faire de la monnaie unique un levier stratégique pour le développement et l’intégration régionale. La mise en œuvre effective de l’ECO devrait marquer un tournant dans l’histoire économique de l’Afrique de l’Ouest, consolidant son rôle en tant que moteur de la croissance sur le continent.
Les dirigeants ont adopté un ensemble de critères rigoureux qui serviront à sélectionner les premiers États membres éligibles pour adopter l’ECO. Ces critères, élaborés par un comité d’experts, sont destinés à garantir la viabilité économique de la nouvelle monnaie et à assurer une transition en douceur. Cette étape clé fait partie du processus visant à créer une zone monétaire intégrée et stable, à même de soutenir le développement économique durable dans toute la région.
Le plan de financement de l’ECO, qui a également été approuvé lors de cette session, détaille les contributions financières de chaque État membre ainsi que les sources de financement additionnelles nécessaires. Cette mobilisation des ressources est cruciale pour la mise en place des réformes économiques et structurelles indispensables au succès du projet.
L’un des enjeux majeurs soulevés par les chefs d’État concerne la nécessité de diversifier les économies des pays de la région. Une économie plus diversifiée, selon les dirigeants, est essentielle pour renforcer la résilience de la zone monétaire face aux chocs externes et garantir la stabilité des prix. "Nous devons travailler ensemble pour construire une union économique plus forte et plus résiliente", a déclaré un responsable, soulignant l’importance stratégique de l’intégration monétaire pour la région.
En parallèle de la mise en place de l’ECO, les chefs d’État ont également abordé la question de l’opérationnalisation des institutions financières régionales. Ces institutions joueront un rôle fondamental dans la gestion de la nouvelle monnaie et la supervision du système bancaire. La réussite de l’ECO dépendra largement de leur capacité à assurer une gestion transparente et efficace du système financier régional.
Avec l’ECO, la CEDEAO vise à créer un marché commun plus intégré, favorisant ainsi les échanges commerciaux, l’investissement et la croissance économique. En renforçant les liens économiques au sein de la région, l’ECO devrait également accroître le poids politique et économique de l’Afrique de l’Ouest sur la scène internationale.
La décision prise à Abuja témoigne de l’engagement des États membres de la CEDEAO à faire de la monnaie unique un levier stratégique pour le développement et l’intégration régionale. La mise en œuvre effective de l’ECO devrait marquer un tournant dans l’histoire économique de l’Afrique de l’Ouest, consolidant son rôle en tant que moteur de la croissance sur le continent.