Les grands événements religieux tels que le Magal et le Gamou se révèlent souvent être des moments propices pour les départs clandestins vers l'Europe via des pirogues. Ces périodes de célébrations attirent la mobilisation des forces de l'ordre dans les cités religieuses, offrant ainsi une opportunité aux passeurs pour tenter de faire passer des migrants clandestins. Consciente de cette situation, l'État sénégalais a décidé de prendre des mesures plus strictes pour contrer ces activités illicites en impliquant l'Armée dans l'opération.
Lancée le 15 août, l'opération "Djoko" vise à intercepter les candidats à l'émigration clandestine ainsi que les membres des réseaux de passeurs. À ce jour, cette opération a conduit à l'interpellation de 453 personnes. Parmi les interpellés figurent 239 Sénégalais, 145 Guinéens, 32 Gambiens, 17 Maliens, 7 Bissau-Guinéens, 6 Ivoiriens, 3 Nigériens, 2 Comoriens, 1 Mauritanien et 1 Congolais. Cette initiative marque un renforcement significatif des mesures de sécurité et de surveillance le long des côtes, avec des patrouilles mixtes menées par les unités militaires et gendarmes pour prévenir les départs clandestins.
Parallèlement, l'État a intensifié ses efforts pour sécuriser le Parc national du Niokolo Koba. Depuis le 18 août, les Armées, la Gendarmerie et les agents des parcs nationaux sont en opération pour protéger ce patrimoine naturel précieux. Les patrouilles ont pour objectif de renforcer la collaboration entre les forces de défense et de sécurité dans la lutte contre le braconnage, la déforestation et l'orpaillage clandestin, des problèmes majeurs menaçant la biodiversité et l'intégrité des espaces protégés.
L'opération "Djoko" illustre l'engagement des autorités sénégalaises à lutter contre l'émigration clandestine tout en renforçant la sécurité des zones sensibles. Les forces armées et les services de gendarmerie continuent de surveiller et de contrôler les sites critiques pour assurer la sécurité des frontières et des ressources naturelles du pays.
Lancée le 15 août, l'opération "Djoko" vise à intercepter les candidats à l'émigration clandestine ainsi que les membres des réseaux de passeurs. À ce jour, cette opération a conduit à l'interpellation de 453 personnes. Parmi les interpellés figurent 239 Sénégalais, 145 Guinéens, 32 Gambiens, 17 Maliens, 7 Bissau-Guinéens, 6 Ivoiriens, 3 Nigériens, 2 Comoriens, 1 Mauritanien et 1 Congolais. Cette initiative marque un renforcement significatif des mesures de sécurité et de surveillance le long des côtes, avec des patrouilles mixtes menées par les unités militaires et gendarmes pour prévenir les départs clandestins.
Parallèlement, l'État a intensifié ses efforts pour sécuriser le Parc national du Niokolo Koba. Depuis le 18 août, les Armées, la Gendarmerie et les agents des parcs nationaux sont en opération pour protéger ce patrimoine naturel précieux. Les patrouilles ont pour objectif de renforcer la collaboration entre les forces de défense et de sécurité dans la lutte contre le braconnage, la déforestation et l'orpaillage clandestin, des problèmes majeurs menaçant la biodiversité et l'intégrité des espaces protégés.
L'opération "Djoko" illustre l'engagement des autorités sénégalaises à lutter contre l'émigration clandestine tout en renforçant la sécurité des zones sensibles. Les forces armées et les services de gendarmerie continuent de surveiller et de contrôler les sites critiques pour assurer la sécurité des frontières et des ressources naturelles du pays.