Le Président du parti Pastef, Ousmane Sonko, a récemment dévoilé une stratégie de campagne ambitieuse à l'approche des élections, tout en réaffirmant son engagement à lutter contre la corruption et à promouvoir une gestion transparente des affaires publiques. Il a partagé sa vision pour la mobilisation des ressources, le développement économique régional, et souligné les valeurs qui guideront la campagne de son parti.
Lors de sa déclaration, Ousmane Sonko a fixé un objectif ambitieux : « Je projette que les militants et sympathisants mobiliseront d’ici dimanche prochain, date de démarrage de la campagne, 1 milliard de francs CFA. » Cette mobilisation de fonds servira à financer une campagne axée sur huit pôles de développement, couvrant l’ensemble du territoire sénégalais.
Ousmane Sonko a également insisté sur la nécessité de mener une campagne électorale « civilisée, en gentlemen », s’adressant ainsi à ses concurrents politiques. « Il y a des gens qui disent vouloir emprunter le même itinéraire que moi pour arriver au sommet. Ce que je leur dis, c’est qu’un homme politique doit avoir une identité pour tracer son propre chemin », a-t-il déclaré, invitant à une compétition saine basée sur des idées novatrices plutôt que sur des imitations.
En réponse à certaines allégations d’irrégularités, Ousmane Sonko a défendu Jean Michel, nommé à l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER). Il a expliqué que Jean Michel avait découvert des irrégularités concernant des commissions et des surfacturations, réduisant la couverture d’électrification prévue pour le pays. « Là où le Sénégal devait obtenir 1000, nous en avions 600 en électrification. Il a dénoncé ce contrat et l’a renégocié, ce qui nous a permis d’augmenter nos prévisions. Il n’a reçu aucun centime, c’est ce qu’on appelle du patriotisme. Malheureusement, il est attaqué de toutes parts », a-t-il expliqué, soulignant que Jean Michel avait prouvé que l’on pouvait faire confiance à la jeunesse sénégalaise.
Sonko a également profité de l’occasion pour réfuter les accusations portées par Barthélémy Dias et d'autres responsables de l’opposition, selon lesquelles son régime serait mêlé à des scandales financiers. « Leur deuxième argument, c’est de vouloir faire croire aux Sénégalais qu’il y a des scandales sous notre magistère. C’est faux. Il n’existe aucun scandale sous notre régime, ni dans le dossier ONAS, ni à l’ASER. »
Le président de Pastef a réitéré sa volonté de changer profondément le Sénégal en luttant contre la corruption, le clientélisme et en privilégiant les intérêts du pays avant ceux des puissances étrangères. « La révolution a commencé. On va changer ce pays », a-t-il affirmé avec conviction, appelant tous les Sénégalais épris de justice à rejoindre son mouvement pour bâtir le Sénégal de demain.
Lors de sa déclaration, Ousmane Sonko a fixé un objectif ambitieux : « Je projette que les militants et sympathisants mobiliseront d’ici dimanche prochain, date de démarrage de la campagne, 1 milliard de francs CFA. » Cette mobilisation de fonds servira à financer une campagne axée sur huit pôles de développement, couvrant l’ensemble du territoire sénégalais.
Ousmane Sonko a également insisté sur la nécessité de mener une campagne électorale « civilisée, en gentlemen », s’adressant ainsi à ses concurrents politiques. « Il y a des gens qui disent vouloir emprunter le même itinéraire que moi pour arriver au sommet. Ce que je leur dis, c’est qu’un homme politique doit avoir une identité pour tracer son propre chemin », a-t-il déclaré, invitant à une compétition saine basée sur des idées novatrices plutôt que sur des imitations.
En réponse à certaines allégations d’irrégularités, Ousmane Sonko a défendu Jean Michel, nommé à l’Agence Sénégalaise d’Électrification Rurale (ASER). Il a expliqué que Jean Michel avait découvert des irrégularités concernant des commissions et des surfacturations, réduisant la couverture d’électrification prévue pour le pays. « Là où le Sénégal devait obtenir 1000, nous en avions 600 en électrification. Il a dénoncé ce contrat et l’a renégocié, ce qui nous a permis d’augmenter nos prévisions. Il n’a reçu aucun centime, c’est ce qu’on appelle du patriotisme. Malheureusement, il est attaqué de toutes parts », a-t-il expliqué, soulignant que Jean Michel avait prouvé que l’on pouvait faire confiance à la jeunesse sénégalaise.
Sonko a également profité de l’occasion pour réfuter les accusations portées par Barthélémy Dias et d'autres responsables de l’opposition, selon lesquelles son régime serait mêlé à des scandales financiers. « Leur deuxième argument, c’est de vouloir faire croire aux Sénégalais qu’il y a des scandales sous notre magistère. C’est faux. Il n’existe aucun scandale sous notre régime, ni dans le dossier ONAS, ni à l’ASER. »
Le président de Pastef a réitéré sa volonté de changer profondément le Sénégal en luttant contre la corruption, le clientélisme et en privilégiant les intérêts du pays avant ceux des puissances étrangères. « La révolution a commencé. On va changer ce pays », a-t-il affirmé avec conviction, appelant tous les Sénégalais épris de justice à rejoindre son mouvement pour bâtir le Sénégal de demain.