Préserver la SEDIMA en tant qu’entreprise sénégalaise et protéger ce fleuron de l’économie nationale face à une potentielle acquisition étrangère est une urgence nationale, il est donc nécessaire de prévoir tout de suite des solutions alternatives .
Faudra penser à mettre en place d'un fond stratégique national.
La mise en place de ce fond souverain sera dédié à l’acquisition ou au soutien des entreprises en difficulté comme la SEDIMA. Pour son bon fonctionnement, ce fond pourrait être financé par : le budget de l'état, des partenaires au développement, une contribution spéciale des sénégalais de la diaspora. Il est possible aussi de passer par la mobilisation des acteurs privés nationaux afin d'inciter les grandes fortunes sénégalais et investisseurs locaux à firler un consortium pour racheter cette entreprise qu'est la Sedima.
Cet appel au patriotisme économique des sénégalais peut réussir avec une vaste campagne de sensibilisation des acteurs économiques nationaux sur l'importance de garder cet actif stratégique sénégalais. La participation du secteur public est d'une grande importance et peut être d'un grand apport, l'état peut aussi intervenir pour acquérir une participation majoritaire dans la SEDIMAa travers un PPP ( partenariat public-privé), il peut aussi créer un mécanisme de rachat par l'état en cas de vente d'actifs stratégiques mais aussi par une campagne de crowfunding nationale . L'état peut aussi lancer une campagne de financement participatif pour permettre aux sénégalais de devenir actionnaires de la SEDIMA. Voilà une piste de solutions qui pourrait inclure une sensibilisation nationale et internationale (Diaspora).
Afin d'éviter que des situations complexes n'arrivent souvent à nos entreprises, faudrait songer à mettre en place une réglementation,adopter des loi qui limitent la cession d'entreprises stratégiques à des intérêts étrangers sans autorisation préalable, obliger une consultation parlementaire avant la vente d'entreprise jugées essentielles à notre économie, Introduire en bourse la Sedima ( BRVM) pour permettre au grand public et aux investisseurs locaux de devenir actionnaires .
Cela pourrait assurer une distribution des parts entre sénégalais et garantir la Transparence.
L'état devrait aussi penser à mettre en place une convention de partenariat avec les coopératives agricoles et la SEDIMA. Ce qui pourrait facilement aider les coopératives ou les producteurs agricoles ou avicoles sénégalais d'être associés pour reprendre la Sedima afin de mieux consolider un modèle économique inclusif. Le soutien de la diaspora pourrait aider à mobiliser les sénégalais pour investir massivement dans cette entreprise via des mécanismes d'investissement dédiés. Créer des fonds spécifiques finances par des contributions volontaires par exemple des sénégalais vivant à l'étranger.
En denier lieu , l'état pourrait recourir à une nationalisation temporaire de la boîte afin d'éviter une prise de contrôle étrangère et une fois la Sedima stabilisée, revendre à des privés sénégalais. Faudra créer autour de cette affaire SEDIMA ,une véritable communication et sensibilisation, Lancer une campagne médiatique nationale pour mobiliser les citoyens, le secteur privé et les acteurs politiques autour de l'importance stratégique de cette boîte qui pourrait aider à mieux renforcer l'idée de souveraineté économique dans les débats publics.
Ces solutions nécessitent une coordination entre les autorités, les acteurs privés et la société civile. Une action rapide et structurée est essentielle pour protéger le patrimoine économique national tout en s'assurant que les intérêts du Sénégal soient priorisés.
Un vrai débat sur le nationalisme économique et sur la gestion locale devrait être posé.
Une priorité absolue devrait être accordée à la gestion locale de cette structure comme la Sedima à mon humble avis avant d'envisager toute possibilité de vente
. Il est impératif que des cadres sénégalais compétents et expérimentés ayant déjà prouvé leur capacité à relever des entreprises en détresse soient placés à la tête de la direction de la SEDIMA .
Cela permettra non seulement de redresser et de renforcer la société mais également de préserver son caractère national et stratégique. Cette approche garantirait que l'entreprise reste entre les mains des sénégalais et qu'elle puisse continuer son développement tout en servant les intérêts économiques du pays .
Former et promouvoir des leaders nationaux compétents dans les postes clés de gestion constitue un pas essentiel vers une souveraineté économique durable .
De plus , cette stratégie va refléter la fierté nationale, en s'assurant que les talents locaux contribuent a consolider les bases d'une économie indépendante et resiliente.
La vente à des intérêts étrangers ne devrait être envisagé qu'en derniers recours, si toutes les possibilités de maintenir la SEDIMA entre les mains des sénégalais se révèle impossible.
Faudra penser à mettre en place d'un fond stratégique national.
La mise en place de ce fond souverain sera dédié à l’acquisition ou au soutien des entreprises en difficulté comme la SEDIMA. Pour son bon fonctionnement, ce fond pourrait être financé par : le budget de l'état, des partenaires au développement, une contribution spéciale des sénégalais de la diaspora. Il est possible aussi de passer par la mobilisation des acteurs privés nationaux afin d'inciter les grandes fortunes sénégalais et investisseurs locaux à firler un consortium pour racheter cette entreprise qu'est la Sedima.
Cet appel au patriotisme économique des sénégalais peut réussir avec une vaste campagne de sensibilisation des acteurs économiques nationaux sur l'importance de garder cet actif stratégique sénégalais. La participation du secteur public est d'une grande importance et peut être d'un grand apport, l'état peut aussi intervenir pour acquérir une participation majoritaire dans la SEDIMAa travers un PPP ( partenariat public-privé), il peut aussi créer un mécanisme de rachat par l'état en cas de vente d'actifs stratégiques mais aussi par une campagne de crowfunding nationale . L'état peut aussi lancer une campagne de financement participatif pour permettre aux sénégalais de devenir actionnaires de la SEDIMA. Voilà une piste de solutions qui pourrait inclure une sensibilisation nationale et internationale (Diaspora).
Afin d'éviter que des situations complexes n'arrivent souvent à nos entreprises, faudrait songer à mettre en place une réglementation,adopter des loi qui limitent la cession d'entreprises stratégiques à des intérêts étrangers sans autorisation préalable, obliger une consultation parlementaire avant la vente d'entreprise jugées essentielles à notre économie, Introduire en bourse la Sedima ( BRVM) pour permettre au grand public et aux investisseurs locaux de devenir actionnaires .
Cela pourrait assurer une distribution des parts entre sénégalais et garantir la Transparence.
L'état devrait aussi penser à mettre en place une convention de partenariat avec les coopératives agricoles et la SEDIMA. Ce qui pourrait facilement aider les coopératives ou les producteurs agricoles ou avicoles sénégalais d'être associés pour reprendre la Sedima afin de mieux consolider un modèle économique inclusif. Le soutien de la diaspora pourrait aider à mobiliser les sénégalais pour investir massivement dans cette entreprise via des mécanismes d'investissement dédiés. Créer des fonds spécifiques finances par des contributions volontaires par exemple des sénégalais vivant à l'étranger.
En denier lieu , l'état pourrait recourir à une nationalisation temporaire de la boîte afin d'éviter une prise de contrôle étrangère et une fois la Sedima stabilisée, revendre à des privés sénégalais. Faudra créer autour de cette affaire SEDIMA ,une véritable communication et sensibilisation, Lancer une campagne médiatique nationale pour mobiliser les citoyens, le secteur privé et les acteurs politiques autour de l'importance stratégique de cette boîte qui pourrait aider à mieux renforcer l'idée de souveraineté économique dans les débats publics.
Ces solutions nécessitent une coordination entre les autorités, les acteurs privés et la société civile. Une action rapide et structurée est essentielle pour protéger le patrimoine économique national tout en s'assurant que les intérêts du Sénégal soient priorisés.
Un vrai débat sur le nationalisme économique et sur la gestion locale devrait être posé.
Une priorité absolue devrait être accordée à la gestion locale de cette structure comme la Sedima à mon humble avis avant d'envisager toute possibilité de vente
. Il est impératif que des cadres sénégalais compétents et expérimentés ayant déjà prouvé leur capacité à relever des entreprises en détresse soient placés à la tête de la direction de la SEDIMA .
Cela permettra non seulement de redresser et de renforcer la société mais également de préserver son caractère national et stratégique. Cette approche garantirait que l'entreprise reste entre les mains des sénégalais et qu'elle puisse continuer son développement tout en servant les intérêts économiques du pays .
Former et promouvoir des leaders nationaux compétents dans les postes clés de gestion constitue un pas essentiel vers une souveraineté économique durable .
De plus , cette stratégie va refléter la fierté nationale, en s'assurant que les talents locaux contribuent a consolider les bases d'une économie indépendante et resiliente.
La vente à des intérêts étrangers ne devrait être envisagé qu'en derniers recours, si toutes les possibilités de maintenir la SEDIMA entre les mains des sénégalais se révèle impossible.
