A travers le Grand Jury de ce dimanche,le Premier Secrétaire du Parti Socialiste, s'est prononcé sur la candidature déclarée de Khalifa Sall, Ousmane Tanor Dieng se voudra intraitable. Ça ne l'intéresse pas, apparemment. '' Nous ne nous occupons pas de ce qu'ils sont en train de faire sur le plan politique. Cela ne nous regarde pas. Je ne m'en occupe pas. C'est l'affaire de ceux qui sont avec lui. Ils ont le droit de suivre leur voie et d'aller faire coalition avec d'autres. Ce sont des Sénégalais qui ont 35 ans et qui remplissent toutes les autres conditions prévues par la Constitution... Ce débat, il faut le dépersonnaliser. Ce n'est pas moi ! ''
Et quand certains considèrent qu'il est à l'origine de l'emprisonnement de Khalifa Sall, il s'étonne et dégage en touche l'accusation. ''Je n'ai rien à voir là-dans. L'affaire Khalifa Sall, je n'y suis pour rien. Le parti socialiste n'y est pour rien. C'est une affaire banale de gestion. La justice est en train de faire son travail. La cour d'appel va se prononcer. Je ne parle pas de question qui sont pendantes devant la justice ! ''
Pour ce qui concerne son accord par rapport à une grâce Présidentielle en faveur de son ancien collaborateur, Tanor recadre le débat et reprécise sa pensée. ''Le journaliste m'a demandé est-ce que je serai favorable à une grâce Présidentielle pour Khalifa Sall. Donc il se situe à la fin de la procédure judiciaire. J'ai repondu en disant que je suis favorable à l'amnistie ou à la grâce de personnes emprisonnées de manière définitive et que, pour des raisons humaines, je ne vois pas pourquoi je le serai opposé à une grâce surtout pour Khalifa avec qui nous avons partagé le parti socialiste. ''
Et quand certains considèrent qu'il est à l'origine de l'emprisonnement de Khalifa Sall, il s'étonne et dégage en touche l'accusation. ''Je n'ai rien à voir là-dans. L'affaire Khalifa Sall, je n'y suis pour rien. Le parti socialiste n'y est pour rien. C'est une affaire banale de gestion. La justice est en train de faire son travail. La cour d'appel va se prononcer. Je ne parle pas de question qui sont pendantes devant la justice ! ''
Pour ce qui concerne son accord par rapport à une grâce Présidentielle en faveur de son ancien collaborateur, Tanor recadre le débat et reprécise sa pensée. ''Le journaliste m'a demandé est-ce que je serai favorable à une grâce Présidentielle pour Khalifa Sall. Donc il se situe à la fin de la procédure judiciaire. J'ai repondu en disant que je suis favorable à l'amnistie ou à la grâce de personnes emprisonnées de manière définitive et que, pour des raisons humaines, je ne vois pas pourquoi je le serai opposé à une grâce surtout pour Khalifa avec qui nous avons partagé le parti socialiste. ''