Mais qui est Mahmoud Dicko: l'imam qui défie le président malien Ibrahima Boubacar Keita? Exclusif.net vous rappelle quelques faits qui ont propulsé l'imam devant la scène internationale.
Né au milieu des années 50 dans la région de Tombouctou, l'imam Dicko, a étudié en Arabie Saoudite et est devenu le chef religieux de la mosquée de Badalabougou, une banlieue verdoyante de Bamako, située au bord du fleuve. Il a également été secrétaire de la principale organisation religieuse du gouvernement jusqu'à la fin du régime de parti unique et l'instauration de la démocratie, il y a près de trois décennies.
Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, l’Imam Mahamoud Dicko renonce publiquement ce vendredi 08 février 2019, à une forte somme à lui envoyée par le premier ministre Soumeylou B. Maïga. L’émissaire du premier ministre est venu avec 50.000.000 FCFA en liquide dans un sac. Devant des journalistes, l’Imam Dicko qui projette d’organiser un meeting a refusé de prendre l’argent. « Notre meeting, ce n’est pas une question d’argent, nous voulons prier pour le Mali. Nous allons l’organiser avec les moyens de bord », avait laissé entendre le président du Haut Conseil Islamique. Depuis lors sa notoriété ne cesse de grandir. REGARDEZ
Né au milieu des années 50 dans la région de Tombouctou, l'imam Dicko, a étudié en Arabie Saoudite et est devenu le chef religieux de la mosquée de Badalabougou, une banlieue verdoyante de Bamako, située au bord du fleuve. Il a également été secrétaire de la principale organisation religieuse du gouvernement jusqu'à la fin du régime de parti unique et l'instauration de la démocratie, il y a près de trois décennies.
Dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux, l’Imam Mahamoud Dicko renonce publiquement ce vendredi 08 février 2019, à une forte somme à lui envoyée par le premier ministre Soumeylou B. Maïga. L’émissaire du premier ministre est venu avec 50.000.000 FCFA en liquide dans un sac. Devant des journalistes, l’Imam Dicko qui projette d’organiser un meeting a refusé de prendre l’argent. « Notre meeting, ce n’est pas une question d’argent, nous voulons prier pour le Mali. Nous allons l’organiser avec les moyens de bord », avait laissé entendre le président du Haut Conseil Islamique. Depuis lors sa notoriété ne cesse de grandir. REGARDEZ