
Mansour Ndiaye, pionnier de la finance islamique au Sénégal, a annoncé avec joie avoir obtenu son diplôme après la soutenance de sa thèse professionnelle pour un MBA en finance islamique à la Financia Business School de Paris.
« Alhamdoulilah. Je viens de recevoir mon diplôme après la soutenance de ma thèse professionnelle pour le MBA en finance islamique. Je dédie ce travail aux exploitations familiales du Sénégal », a-t-il déclaré avec émotion.
Un engagement de longue date pour la finance islamique
Revenant sur son parcours, Mansour Ndiaye a rappelé son rôle central dans la promotion de la finance islamique en Afrique de l’Ouest, particulièrement au Sénégal. « J’ai été l’un des premiers acteurs à me mobiliser pour la finance islamique dans la région. Avec feu Mamadou Touré du PAMECAS (paix à son âme), nous avions mis en place le CEFIS, le Collectif pour l’Émergence de la Finance Islamique au Sénégal », a-t-il souligné.
Il a également mentionné les actions de son cabinet, Ascodev, qui se consacre à offrir des services, à organiser des formations, à sensibiliser le public et à accompagner divers acteurs du secteur à travers le continent.
Pour Mansour Ndiaye, le Sénégal doit continuer à accorder une place importante à la finance éthique : « Elle est prise en compte dans la vision, mais il faut y aller avec réalisme et audace. »
Une thèse tournée vers l’agriculture et la finance éthique
Sa thèse professionnelle s’est focalisée sur « l’impact de la mise en place du contrat 'Salam' sur les exploitations familiales dans la vallée du fleuve Sénégal », avec une étude spécifique menée dans la cuvette rizicole de Grande Digue Tellel à Ross-Béthio.
Mansour Ndiaye a expliqué l’importance de ce travail pour les communautés rurales : « Le contrat Salam représente une solution innovante pour financer les exploitations agricoles en respectant les principes de la finance islamique. Ce modèle peut véritablement transformer les exploitations familiales et renforcer leur autonomie économique. »
Il a également exprimé sa gratitude envers ceux qui l’ont soutenu dans cette aventure : « Je remercie M. Alioune Gaye, président du casier Grande Digue Tellel, et tous les acteurs qui m’ont accompagné dans la réalisation de ma thèse. »
Fort de ce nouvel accomplissement, Mansour Ndiaye demeure optimiste quant au développement de la finance islamique au Sénégal et sur le continent : « Sans doute, notre pays continuera de réserver une place de choix à la finance éthique. »
Son engagement inébranlable, combiné à son expertise et à son expérience, en fait un acteur clé pour propulser cette alternative financière vers un avenir prometteur.
« Alhamdoulilah. Je viens de recevoir mon diplôme après la soutenance de ma thèse professionnelle pour le MBA en finance islamique. Je dédie ce travail aux exploitations familiales du Sénégal », a-t-il déclaré avec émotion.
Un engagement de longue date pour la finance islamique
Revenant sur son parcours, Mansour Ndiaye a rappelé son rôle central dans la promotion de la finance islamique en Afrique de l’Ouest, particulièrement au Sénégal. « J’ai été l’un des premiers acteurs à me mobiliser pour la finance islamique dans la région. Avec feu Mamadou Touré du PAMECAS (paix à son âme), nous avions mis en place le CEFIS, le Collectif pour l’Émergence de la Finance Islamique au Sénégal », a-t-il souligné.
Il a également mentionné les actions de son cabinet, Ascodev, qui se consacre à offrir des services, à organiser des formations, à sensibiliser le public et à accompagner divers acteurs du secteur à travers le continent.
Pour Mansour Ndiaye, le Sénégal doit continuer à accorder une place importante à la finance éthique : « Elle est prise en compte dans la vision, mais il faut y aller avec réalisme et audace. »
Une thèse tournée vers l’agriculture et la finance éthique
Sa thèse professionnelle s’est focalisée sur « l’impact de la mise en place du contrat 'Salam' sur les exploitations familiales dans la vallée du fleuve Sénégal », avec une étude spécifique menée dans la cuvette rizicole de Grande Digue Tellel à Ross-Béthio.
Mansour Ndiaye a expliqué l’importance de ce travail pour les communautés rurales : « Le contrat Salam représente une solution innovante pour financer les exploitations agricoles en respectant les principes de la finance islamique. Ce modèle peut véritablement transformer les exploitations familiales et renforcer leur autonomie économique. »
Il a également exprimé sa gratitude envers ceux qui l’ont soutenu dans cette aventure : « Je remercie M. Alioune Gaye, président du casier Grande Digue Tellel, et tous les acteurs qui m’ont accompagné dans la réalisation de ma thèse. »
Fort de ce nouvel accomplissement, Mansour Ndiaye demeure optimiste quant au développement de la finance islamique au Sénégal et sur le continent : « Sans doute, notre pays continuera de réserver une place de choix à la finance éthique. »
Son engagement inébranlable, combiné à son expertise et à son expérience, en fait un acteur clé pour propulser cette alternative financière vers un avenir prometteur.