Aujourd’hui plus que jamais, «l’information doit passer», pour atteindre le maximum de populations, en ce qui concerne leur droit à une protection de leurs données personnelles. Un prétexte mis en avant par la Commission de Protection des données personnelles (Cdp) pour chercher à nouer un partenariat «dynamique et constructif» avec les médias.
«Nous ne devons pas dire que nos données sont protégées. Nous tendons vers une meilleure protection de nos données personnelles», note la présidente de la Cdp, Awa Ndiaye, qui a fait, ce mercredi, sa première sortie face à la presse depuis sa nomination au mois de février dernier. Awa Ndiaye affiche sa ferme volonté de collaborer avec les professionnels des médias, dans leur mission de sensibilisation, de communication et de protection des informations dites «sensibles» de chaque citoyen.
Elle veut sensibiliser les populations sur leurs droits, pour accepter ou refuser un traitement de leurs données, d’être en même temps informés pour pouvoir rectifier, supprimer quand les données divulguées sont illicites ou frauduleux.
Elle soutient qu'il y a énormément de données non déclarées.
“Il y’a aussi la collecte déloyale, la collecte abusive, qui donne plus d’informations que ce qui est demandé», note-t-il avant de faire comprendre que «tout traitement et collecte de données doit avoir une finalité claire et nette car c’est en vertu de cette finalité que l’on conserve ou que l’on détruit ces données-là».
«Nous ne devons pas dire que nos données sont protégées. Nous tendons vers une meilleure protection de nos données personnelles», note la présidente de la Cdp, Awa Ndiaye, qui a fait, ce mercredi, sa première sortie face à la presse depuis sa nomination au mois de février dernier. Awa Ndiaye affiche sa ferme volonté de collaborer avec les professionnels des médias, dans leur mission de sensibilisation, de communication et de protection des informations dites «sensibles» de chaque citoyen.
Elle veut sensibiliser les populations sur leurs droits, pour accepter ou refuser un traitement de leurs données, d’être en même temps informés pour pouvoir rectifier, supprimer quand les données divulguées sont illicites ou frauduleux.
Elle soutient qu'il y a énormément de données non déclarées.
“Il y’a aussi la collecte déloyale, la collecte abusive, qui donne plus d’informations que ce qui est demandé», note-t-il avant de faire comprendre que «tout traitement et collecte de données doit avoir une finalité claire et nette car c’est en vertu de cette finalité que l’on conserve ou que l’on détruit ces données-là».