Le Chef de l’État, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye, a présidé ce jeudi la cérémonie solennelle de rentrée des Cours et Tribunaux à la salle d’audience de la Cour suprême. Dans un discours dense et solennel, le Président a souligné le rôle central de la Justice dans la consolidation de l’État de droit, la protection des libertés fondamentales et la stabilité sociale.
Dans son allocution, Bassirou Diomaye Faye a rappelé que la Justice constitue « le régulateur des relations entre les différents pouvoirs et les institutions ; la gardienne des libertés individuelles et collectives ; le bouclier qui protège chaque citoyen de l’arbitraire ». Il a affirmé que les justiciables doivent percevoir la Justice comme « un rempart contre l’arbitraire et non pas un instrument d’arbitraire ».
Revenant sur son initiative de convoquer les Assises de la Justice dès le début de son mandat, le Président a expliqué que ces consultations ont permis d’identifier les failles du système judiciaire et de proposer des réformes. Ces dernières visent à « humaniser le visage de la Justice » et à renforcer l’efficacité du service public judiciaire.
Le thème central de cette rentrée judiciaire – Le droit de grève et la préservation de l’ordre public – a été abordé avec fermeté et nuance. Reconnaissant que le droit de grève est « une composante essentielle de la liberté syndicale », le Chef de l’État a insisté sur la nécessité de son exercice dans le respect des lois et de l’ordre public.
Citant les conventions internationales et la Constitution sénégalaise, il a rappelé que le droit de grève « ne doit pas porter atteinte à la liberté de travail ni mettre en péril les services publics essentiels ». Pour garantir cet équilibre, le Président a annoncé des réformes juridiques visant à clarifier les conditions d’exercice du droit de grève, notamment dans les secteurs stratégiques tels que la santé, l’éducation et la sécurité publique.
Modernisation et accessibilité de la Justice
Le discours a également mis en lumière l’importance de rendre la Justice plus accessible et moderne. Le Chef de l’État a souligné la nécessité d’une assistance judiciaire formalisée, accessible aussi bien aux victimes qu’aux mis en cause. Il a exhorté les autorités compétentes à accélérer la mise en place des centres de formation professionnelle pour les avocats, conformément aux règles de l’UEMOA.
Faisant écho aux événements récents qui ont marqué le pays, Bassirou Diomaye Faye a appelé les acteurs de la Justice à agir avec éthique et impartialité pour éviter que « la récente histoire qui a traversé la période 2021-2024 ne se reproduise ». Il a insisté sur le rôle de la Justice comme garante de la cohésion nationale et de la paix sociale, exhortant à un exercice responsable du droit de grève et à la promotion du dialogue social.
Le Chef de l’État a conclu en réaffirmant son engagement pour une Justice réformée et moderne, au service d’un Sénégal uni et prospère. « Ensemble, construisons un Sénégal où les droits de chacun s’expriment dans le respect de l’intérêt général, un Sénégal de liberté, de justice et de prospérité », a-t-il déclaré avant de déclarer ouverte l’année judiciaire 2025.
Dans son allocution, Bassirou Diomaye Faye a rappelé que la Justice constitue « le régulateur des relations entre les différents pouvoirs et les institutions ; la gardienne des libertés individuelles et collectives ; le bouclier qui protège chaque citoyen de l’arbitraire ». Il a affirmé que les justiciables doivent percevoir la Justice comme « un rempart contre l’arbitraire et non pas un instrument d’arbitraire ».
Revenant sur son initiative de convoquer les Assises de la Justice dès le début de son mandat, le Président a expliqué que ces consultations ont permis d’identifier les failles du système judiciaire et de proposer des réformes. Ces dernières visent à « humaniser le visage de la Justice » et à renforcer l’efficacité du service public judiciaire.
Le thème central de cette rentrée judiciaire – Le droit de grève et la préservation de l’ordre public – a été abordé avec fermeté et nuance. Reconnaissant que le droit de grève est « une composante essentielle de la liberté syndicale », le Chef de l’État a insisté sur la nécessité de son exercice dans le respect des lois et de l’ordre public.
Citant les conventions internationales et la Constitution sénégalaise, il a rappelé que le droit de grève « ne doit pas porter atteinte à la liberté de travail ni mettre en péril les services publics essentiels ». Pour garantir cet équilibre, le Président a annoncé des réformes juridiques visant à clarifier les conditions d’exercice du droit de grève, notamment dans les secteurs stratégiques tels que la santé, l’éducation et la sécurité publique.
Modernisation et accessibilité de la Justice
Le discours a également mis en lumière l’importance de rendre la Justice plus accessible et moderne. Le Chef de l’État a souligné la nécessité d’une assistance judiciaire formalisée, accessible aussi bien aux victimes qu’aux mis en cause. Il a exhorté les autorités compétentes à accélérer la mise en place des centres de formation professionnelle pour les avocats, conformément aux règles de l’UEMOA.
Faisant écho aux événements récents qui ont marqué le pays, Bassirou Diomaye Faye a appelé les acteurs de la Justice à agir avec éthique et impartialité pour éviter que « la récente histoire qui a traversé la période 2021-2024 ne se reproduise ». Il a insisté sur le rôle de la Justice comme garante de la cohésion nationale et de la paix sociale, exhortant à un exercice responsable du droit de grève et à la promotion du dialogue social.
Le Chef de l’État a conclu en réaffirmant son engagement pour une Justice réformée et moderne, au service d’un Sénégal uni et prospère. « Ensemble, construisons un Sénégal où les droits de chacun s’expriment dans le respect de l’intérêt général, un Sénégal de liberté, de justice et de prospérité », a-t-il déclaré avant de déclarer ouverte l’année judiciaire 2025.