Depuis 2021, le mouvement Jiguénou PASTEF a lancé des initiatives novatrices dans la transformation des produits locaux et la fabrication de produits d’hygiène. Ces efforts contribuent à promouvoir l’économie sociale et solidaire dans la région.
Face aux pratiques de distribution d'argent et de financements limités du précédent régime, les femmes de PASTEF Sédhiou ont choisi une réponse plus structurée. « Nous ne croyons pas en cette facilité. Pour nous, il faut un effort que l’aide ou le financement peuvent accompagner », affirme l’honorable Ndèye Fatou Mané Coly, coordinatrice départementale du MOJIP. Inspirées par Solutions, l’ouvrage du Président Ousmane Sonko, et par le programme de campagne locale de PASTEF Sédhiou en 2022, ces femmes ont décidé de se mobiliser pour transformer leurs idées en actions concrètes.
Les groupements féminins s’organisent pour valoriser les richesses locales : Les fruits sont transformés en jus, sirops, confitures ou croustillants. Les céréales deviennent du couscous, du thiakry ou du lathiry. Les tubercules connaissent le même processus de valorisation. En parallèle, elles se forment à la fabrication de produits d’hygiène comme les savons liquides et solides, ainsi que l’eau de Javel. « Nous devions d’abord maîtriser les règles d’hygiène, base de nos activités, afin de garantir la qualité et la sécurité de nos produits », explique Fatoumata Badji Diedhiou, formatrice.
Face aux pratiques de distribution d'argent et de financements limités du précédent régime, les femmes de PASTEF Sédhiou ont choisi une réponse plus structurée. « Nous ne croyons pas en cette facilité. Pour nous, il faut un effort que l’aide ou le financement peuvent accompagner », affirme l’honorable Ndèye Fatou Mané Coly, coordinatrice départementale du MOJIP. Inspirées par Solutions, l’ouvrage du Président Ousmane Sonko, et par le programme de campagne locale de PASTEF Sédhiou en 2022, ces femmes ont décidé de se mobiliser pour transformer leurs idées en actions concrètes.
Les groupements féminins s’organisent pour valoriser les richesses locales : Les fruits sont transformés en jus, sirops, confitures ou croustillants. Les céréales deviennent du couscous, du thiakry ou du lathiry. Les tubercules connaissent le même processus de valorisation. En parallèle, elles se forment à la fabrication de produits d’hygiène comme les savons liquides et solides, ainsi que l’eau de Javel. « Nous devions d’abord maîtriser les règles d’hygiène, base de nos activités, afin de garantir la qualité et la sécurité de nos produits », explique Fatoumata Badji Diedhiou, formatrice.
Ces pionnières ont parcouru le département, souvent dans des conditions difficiles. « À moto-taxi Jakarta ou à pied sur de longues distances, nous avons travaillé avec des moyens très limités, allant jusqu’à puiser dans nos dépenses quotidiennes pour financer nos déplacements », confie Mme Coly.
Leur objectif initial était de préparer le terrain pour les échéances électorales. Mais avec l’arrivée du parti au pouvoir, elles cherchent désormais à privilégier des activités économiques en minimisant l’aspect politique. Cependant, le manque de moyens reste un défi majeur.
Premiers résultats prometteurs
Certains groupements féminins parviennent à constituer des fonds de roulement avoisinant 700 000 FCFA. Les produits qu’elles fabriquent sont écoulés localement, soit au sein de leurs organisations, soit dans leurs communautés.
Ces efforts témoignent de la volonté des femmes de Sédhiou de se prendre en main et de bâtir un modèle d’économie solidaire, en phase avec les aspirations du PASTEF pour une société plus autonome et équitable.
Leur objectif initial était de préparer le terrain pour les échéances électorales. Mais avec l’arrivée du parti au pouvoir, elles cherchent désormais à privilégier des activités économiques en minimisant l’aspect politique. Cependant, le manque de moyens reste un défi majeur.
Premiers résultats prometteurs
Certains groupements féminins parviennent à constituer des fonds de roulement avoisinant 700 000 FCFA. Les produits qu’elles fabriquent sont écoulés localement, soit au sein de leurs organisations, soit dans leurs communautés.
Ces efforts témoignent de la volonté des femmes de Sédhiou de se prendre en main et de bâtir un modèle d’économie solidaire, en phase avec les aspirations du PASTEF pour une société plus autonome et équitable.