La rappeuse Audrey Diatta, connue sous le nom de D.FREEZY, fait à nouveau parler d'elle, déclenchant une nouvelle vague d'indignation à la suite de ses récentes frasques, déjà remarquées en 2020. Cela s'est une nouvelle fois produit lors de la célébration de la « fête de la Musique » le 21 juin dernier.
Cette année encore, sa tenue lors de l'événement au Terrain Acapes a suscité une vive polémique. Partiellement dénudée, D.FREEZY a une fois de plus secoué les réseaux sociaux, provoquant une avalanche de critiques.
Face aux réactions massives des Sénégalais sur les plateformes en ligne, l'ONG JAMRA a rapidement réagi en annonçant des démarches juridiques ce mardi 25 juin 2024. Des plaintes ont été déposées auprès de la brigade des mœurs, de la division spéciale de la cybercriminalité et devant le procureur de la République. Elles visent D.FREEZY pour violation des articles 318 et 324 du Code pénal, ainsi que de la loi 2008-11 du 25 janvier 2008 sur l’attentat à la pudeur, l’outrage public aux bonnes mœurs et l’usage de moyens électroniques pour diffuser des contenus portant atteinte à nos bonnes mœurs.
Cette année encore, sa tenue lors de l'événement au Terrain Acapes a suscité une vive polémique. Partiellement dénudée, D.FREEZY a une fois de plus secoué les réseaux sociaux, provoquant une avalanche de critiques.
Face aux réactions massives des Sénégalais sur les plateformes en ligne, l'ONG JAMRA a rapidement réagi en annonçant des démarches juridiques ce mardi 25 juin 2024. Des plaintes ont été déposées auprès de la brigade des mœurs, de la division spéciale de la cybercriminalité et devant le procureur de la République. Elles visent D.FREEZY pour violation des articles 318 et 324 du Code pénal, ainsi que de la loi 2008-11 du 25 janvier 2008 sur l’attentat à la pudeur, l’outrage public aux bonnes mœurs et l’usage de moyens électroniques pour diffuser des contenus portant atteinte à nos bonnes mœurs.