A la guerre comme à la guerre. En effet apres la sortie des cadres de la Sonatel, qui avaient farouchement dénoncé les pratiques "malsaines" du directeur de l’Autorité de régulation des postes et télécommunications (Artp) , Abdou Karim Sall, c'est au tour des cadres de de la dite boite d'apporter leur réplique.
L’amicale des cadres de l’Artp (Aca) est montée au créneau pour recadrer les cadres de la Sonatel qu’elle invite à suivre une démarche citoyenne. Prenant la défense de son Directeur général, l’amicale des cadres de l’Artp rappelle que les décisions de l’organe de régulation peuvent faire l’objet de recours devant la haute juridiction administrative, nonobstant un recours gracieux préalable. Pour eux, si argument il y a à faire prévaloir, voies ne sauraient être plus honorables et plus dignes de la citoyenneté proclamée que celles qui sont prévues par la réglementation en vigueur, dans le respect de la liberté et des prérogatives de chaque partie. Remettant les pendules à l’heure, l’Aca soutient qu’une amicale de cadres doit exclusivement s’inscrire dans un débat d’idées.
Pour rappel, cette polémique est née de la sanction infligée à Sonatel de payer 13,959 milliards pour violation de certaines obligations. Or le président de l’Amicale des cadres de la Sonatel (ACSON), Demba Diarra Mbodji, avait soutenu que Sonatel a répondu systématiquement à tous les courriers reçus et a régulièrement tenu des réunions d’informations avec l’ARTP entre 2014 et 2015.
L’amicale des cadres de l’Artp (Aca) est montée au créneau pour recadrer les cadres de la Sonatel qu’elle invite à suivre une démarche citoyenne. Prenant la défense de son Directeur général, l’amicale des cadres de l’Artp rappelle que les décisions de l’organe de régulation peuvent faire l’objet de recours devant la haute juridiction administrative, nonobstant un recours gracieux préalable. Pour eux, si argument il y a à faire prévaloir, voies ne sauraient être plus honorables et plus dignes de la citoyenneté proclamée que celles qui sont prévues par la réglementation en vigueur, dans le respect de la liberté et des prérogatives de chaque partie. Remettant les pendules à l’heure, l’Aca soutient qu’une amicale de cadres doit exclusivement s’inscrire dans un débat d’idées.
Pour rappel, cette polémique est née de la sanction infligée à Sonatel de payer 13,959 milliards pour violation de certaines obligations. Or le président de l’Amicale des cadres de la Sonatel (ACSON), Demba Diarra Mbodji, avait soutenu que Sonatel a répondu systématiquement à tous les courriers reçus et a régulièrement tenu des réunions d’informations avec l’ARTP entre 2014 et 2015.