La récente nomination d'Aoua Bocar Ly Tall au Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) a suscité une vive indignation au sein de certains militants du parti Pastef/Les Patriotes. Dans un communiqué publié en réaction à cette décision, le collectif des sections communales de Pastef a exprimé sa ferme désapprobation et a annoncé la tenue d'un point de presse dans les prochains jours pour réagir à cette nomination.
Le communiqué déplore notamment « la promotion des adversaires et ennemis du PROJET » par Son Excellence le Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye, son Premier ministre Ousmane Sonko et leur gouvernement, ainsi que « le maintien des éléments du régime apériste dans des instances de décision ». Ces décisions sont perçues comme un manque de renouvellement politique et un désaveu des principes fondateurs du mouvement.
Le communiqué mentionne également un « manque de considération et de reconnaissance du parti envers la base dirigée par les coordonnateurs communaux », soulignant que les véritables acteurs locaux du mouvement ne sont pas suffisamment impliqués dans les grandes décisions. Le collectif exprime son mécontentement face à « la promotion des alliés de circonstance » et à « la non-implication des coordonnateurs communaux dans la mise en pratique du PROJET ». Selon eux, cela engendre une « négligence de la base » et des difficultés croissantes pour entrer en contact avec les nouvelles autorités.
Le collectif des sections communales de Pastef exprime aussi son mécontentement quant à la place accordée aux « influenceurs opportunistes », des figures extérieures bénéficiant de l'attention et du soutien du parti sans réellement porter les valeurs fondamentales du mouvement. Ces prises de position indiquent une volonté de réévaluer la stratégie de communication et de représentation du parti, tant au niveau local que national.
Le communiqué déplore notamment « la promotion des adversaires et ennemis du PROJET » par Son Excellence le Président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye, son Premier ministre Ousmane Sonko et leur gouvernement, ainsi que « le maintien des éléments du régime apériste dans des instances de décision ». Ces décisions sont perçues comme un manque de renouvellement politique et un désaveu des principes fondateurs du mouvement.
Le communiqué mentionne également un « manque de considération et de reconnaissance du parti envers la base dirigée par les coordonnateurs communaux », soulignant que les véritables acteurs locaux du mouvement ne sont pas suffisamment impliqués dans les grandes décisions. Le collectif exprime son mécontentement face à « la promotion des alliés de circonstance » et à « la non-implication des coordonnateurs communaux dans la mise en pratique du PROJET ». Selon eux, cela engendre une « négligence de la base » et des difficultés croissantes pour entrer en contact avec les nouvelles autorités.
Le collectif des sections communales de Pastef exprime aussi son mécontentement quant à la place accordée aux « influenceurs opportunistes », des figures extérieures bénéficiant de l'attention et du soutien du parti sans réellement porter les valeurs fondamentales du mouvement. Ces prises de position indiquent une volonté de réévaluer la stratégie de communication et de représentation du parti, tant au niveau local que national.