La nomination de la sociologue Aoua Bocar Ly Tall au sein du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) suscite de vives réactions au Sénégal. Dès l’annonce de cette décision, les réactions ne se sont pas fait attendre, particulièrement sur les plateformes numériques. L’intéressée est sortie de sa réserve. Dans un audio devenu viral, la sociologue affirme avoir reçu une pluie de félicitations et réaffirme qu’elle n’a aucune intention de démissionner de son poste.
«La partie positive pour moi, ce sont ces nombreux messages que j'ai reçus depuis la publication. Une avalanche de marques de confiance, où les gens me disent : 'Tu mérites amplement cette nomination. Nous avons confiance en toi, et tu contribueras à la revalorisation de cette institution.' Ce sont ces réactions positives que je retiens,» a-t-elle déclaré.
Toutefois, Aoua Bocar Ly Tall dit comprendre la frustration de certains détracteurs, dont certains espéraient être nommés en raison de leur participation supposée à la chute du régime de l’APR.
Sociologue de renom, titulaire d’un doctorat en sociologie, elle a été désignée pour occuper ce poste vacant au CNRA en tant que personnalité qualifiée dans le domaine des lettres. Cependant, une chose est certaine : cette nomination a déjà créé un malaise au sein du parti d’Ousmane Sonko, leader de Pastef.
«La partie positive pour moi, ce sont ces nombreux messages que j'ai reçus depuis la publication. Une avalanche de marques de confiance, où les gens me disent : 'Tu mérites amplement cette nomination. Nous avons confiance en toi, et tu contribueras à la revalorisation de cette institution.' Ce sont ces réactions positives que je retiens,» a-t-elle déclaré.
Toutefois, Aoua Bocar Ly Tall dit comprendre la frustration de certains détracteurs, dont certains espéraient être nommés en raison de leur participation supposée à la chute du régime de l’APR.
Sociologue de renom, titulaire d’un doctorat en sociologie, elle a été désignée pour occuper ce poste vacant au CNRA en tant que personnalité qualifiée dans le domaine des lettres. Cependant, une chose est certaine : cette nomination a déjà créé un malaise au sein du parti d’Ousmane Sonko, leader de Pastef.