Analysant la situation socio-économique du pays, le Bureau confédéral est sorti de sa réserve pour saluer les décisions prises par le gouvernement de procéder à la baisse des prix des denrées de première nécessité et du loyer tout en demandant à l’Etat de prendre les dispositions nécessaires pour rendre effectives les mesures annoncées. Toutefois, la CNTS déplore la persistance des conflits sociaux dans certains secteurs privés, publics et parapublics au mépris des principes et valeurs du Dialogue social qui demeure l’instrument le plus approprié pour parvenir à des accords consensuels, facteurs de progrès et de paix sociale.
La Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal (CNTS)invite le gouvernement et les Employeurs à privilégier le Dialogue social et la négociation pour une sortie de crise dans les entreprises privées, publiques et parapubliques en proie à l’instabilité du fait d’une mauvaise gestion des préoccupations légitimes exprimées par les travailleurs. Ainsi, ont-ils demandé au gouvernement de procéder à la suppression du système des équivalences dans le secteur de l’hôtellerie et de poursuivre les négociations avec les syndicats des travailleurs des collectivités territoriales et de parvenir à un Accord profitable à tous.
Poursuivant, ils ont également exigé d’examiner avec attention et équité la situation des travailleurs contractuels du secteur de la santé victimes d’injustice dans leur traitement salarial, et dans l'autre côté de finaliser les négociations avec les travailleurs du secteur primaire (élevage, agriculture et pêche) sur les salaires, ainsi de respecter les droits des travailleurs des plates-formes d'hydrocarbures offshore et des stations-service, sans oublier d’engager une réflexion inclusive sur la poste en vue de redresser et sauvegarder cet important outil.
Par ailleurs, il invite le gouvernement à examiner avec les Employeurs la possibilité d’une augmentation généralisée de salaire dans le secteur privé ou l’octroi d’un crédit fiscal pour améliorer les conditions d’existence de ces travailleurs qui souffrent aussi du renchérissement du coût de la vie. Ils n'ont pas passé sous silence la reprise des perturbations dans le secteur de l’enseignement public et demandent au gouvernement de veiller au respect des différents protocoles d’accord signés avec les syndicats pour garantir la stabilité du secteur. Dans ce même ordre d’idées, le Bureau confédéral demande au gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour procéder aux renouvellements des organes délibérants des Institutions de prévoyance sociale (IPRES et Caisse de Sécurité Sociale), non renouvelés depuis 2014.
La Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal (CNTS)invite le gouvernement et les Employeurs à privilégier le Dialogue social et la négociation pour une sortie de crise dans les entreprises privées, publiques et parapubliques en proie à l’instabilité du fait d’une mauvaise gestion des préoccupations légitimes exprimées par les travailleurs. Ainsi, ont-ils demandé au gouvernement de procéder à la suppression du système des équivalences dans le secteur de l’hôtellerie et de poursuivre les négociations avec les syndicats des travailleurs des collectivités territoriales et de parvenir à un Accord profitable à tous.
Poursuivant, ils ont également exigé d’examiner avec attention et équité la situation des travailleurs contractuels du secteur de la santé victimes d’injustice dans leur traitement salarial, et dans l'autre côté de finaliser les négociations avec les travailleurs du secteur primaire (élevage, agriculture et pêche) sur les salaires, ainsi de respecter les droits des travailleurs des plates-formes d'hydrocarbures offshore et des stations-service, sans oublier d’engager une réflexion inclusive sur la poste en vue de redresser et sauvegarder cet important outil.
Par ailleurs, il invite le gouvernement à examiner avec les Employeurs la possibilité d’une augmentation généralisée de salaire dans le secteur privé ou l’octroi d’un crédit fiscal pour améliorer les conditions d’existence de ces travailleurs qui souffrent aussi du renchérissement du coût de la vie. Ils n'ont pas passé sous silence la reprise des perturbations dans le secteur de l’enseignement public et demandent au gouvernement de veiller au respect des différents protocoles d’accord signés avec les syndicats pour garantir la stabilité du secteur. Dans ce même ordre d’idées, le Bureau confédéral demande au gouvernement de prendre les mesures nécessaires pour procéder aux renouvellements des organes délibérants des Institutions de prévoyance sociale (IPRES et Caisse de Sécurité Sociale), non renouvelés depuis 2014.