Dans un communiqué incisif, Mouhamadou Guissé, ancien conseiller technique au Département de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie numérique du Sénégal et secrétaire national en charge des partenariats du PRP, a abordé des questions brûlantes liées à l'enseignement supérieur, la presse, et les défis de la XVᵉ. législature.
L’UASZ : un temple du savoir en péril
S'exprimant sur la situation de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ), Mouhamadou Guissé a dénoncé ce qu’il perçoit comme une marginalisation persistante de l’enseignement supérieur.« Ce temple du savoir, porteur d’espoir pour la jeunesse, ne doit pas être traité comme un secteur marginal. En prenant une telle décision, les autorités universitaires poursuivent leur dynamique de reléguer l’enseignement supérieur, pourtant essentiel au développement et à la prospérité de toute nation, » a-t-il déclaré.
Il a également mis en garde contre une montée des « velléités d’opprimer systématiquement toutes les voix dissidentes dans les universités », tout en dénonçant « un mépris sans précédent du droit inaliénable des étudiants sénégalais. » Appelant à une réouverture immédiate de l’UASZ, il a insisté sur la nécessité d’éviter des retards dans le calendrier académique.
La presse sous surveillance : un appel à la liberté et à la responsabilité
Mouhamadou Guissé a ensuite pointé les erreurs du régime précédent dans la gestion des médias, plaidant pour un encadrement respectueux de la liberté de la presse.
« Il faut éviter les erreurs du régime précédent sur la gestion des acteurs des médias, en se référant à la Constitution, qui stipule que la création d’un organe de presse est libre et n’est soumise à aucune autorisation préalable, » a-t-il souligné.
Tout en appelant à une réglementation du secteur pour garantir son développement, il a insisté sur l'importance de protéger les principes démocratiques, en faisant des médias un acteur clé de la vie publique.
XVᵉ législature : la rupture en marche
Mouhamadou Guissé a enfin évoqué les attentes du peuple sénégalais envers le nouveau régime dirigé par Son Excellence Bassirou Faye et son Premier ministre.
« Le Peuple sénégalais, en toute logique et dans la paix, a confié tous les pouvoirs de la République au Président et à son Premier ministre. La Majorité présidentielle a l'obligation de réussir la véritable rupture promise aux Sénégalais, » a-t-il affirmé.
Il a exhorté les responsables politiques à se concentrer sur les « urgences et priorités » pour répondre aux attentes des citoyens. « Nous devons œuvrer et veiller à la réussite de la mission qui nous est confiée, » a-t-il conclu.
L’UASZ : un temple du savoir en péril
S'exprimant sur la situation de l’Université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ), Mouhamadou Guissé a dénoncé ce qu’il perçoit comme une marginalisation persistante de l’enseignement supérieur.« Ce temple du savoir, porteur d’espoir pour la jeunesse, ne doit pas être traité comme un secteur marginal. En prenant une telle décision, les autorités universitaires poursuivent leur dynamique de reléguer l’enseignement supérieur, pourtant essentiel au développement et à la prospérité de toute nation, » a-t-il déclaré.
Il a également mis en garde contre une montée des « velléités d’opprimer systématiquement toutes les voix dissidentes dans les universités », tout en dénonçant « un mépris sans précédent du droit inaliénable des étudiants sénégalais. » Appelant à une réouverture immédiate de l’UASZ, il a insisté sur la nécessité d’éviter des retards dans le calendrier académique.
La presse sous surveillance : un appel à la liberté et à la responsabilité
Mouhamadou Guissé a ensuite pointé les erreurs du régime précédent dans la gestion des médias, plaidant pour un encadrement respectueux de la liberté de la presse.
« Il faut éviter les erreurs du régime précédent sur la gestion des acteurs des médias, en se référant à la Constitution, qui stipule que la création d’un organe de presse est libre et n’est soumise à aucune autorisation préalable, » a-t-il souligné.
Tout en appelant à une réglementation du secteur pour garantir son développement, il a insisté sur l'importance de protéger les principes démocratiques, en faisant des médias un acteur clé de la vie publique.
XVᵉ législature : la rupture en marche
Mouhamadou Guissé a enfin évoqué les attentes du peuple sénégalais envers le nouveau régime dirigé par Son Excellence Bassirou Faye et son Premier ministre.
« Le Peuple sénégalais, en toute logique et dans la paix, a confié tous les pouvoirs de la République au Président et à son Premier ministre. La Majorité présidentielle a l'obligation de réussir la véritable rupture promise aux Sénégalais, » a-t-il affirmé.
Il a exhorté les responsables politiques à se concentrer sur les « urgences et priorités » pour répondre aux attentes des citoyens. « Nous devons œuvrer et veiller à la réussite de la mission qui nous est confiée, » a-t-il conclu.