« Par devoir de vérité sur une vraie fausse issue heureuse, aucune plainte n’est encore retirée. » Telle est la réaction du département de Sociologie. Ainsi, dans un communiqué parvenu à la rédaction du quotidien Le Réveil, ledit département semble apporter son soutien à Dr Goudiaby dans cette affaire qui l’oppose au Recteur.
«Par voie d’huissier, le collègue Jean Alain GOUDIABY recevait une sommation interpellative puis une citation directe à comparaître au tribunal correctionnel de Ziguinchor le 2 novembre 2022 », lit-on dans le texte. Lequel ajoute : «Nous attirons l’attention de toute la communauté universitaire et de l’opinion nationale que la note d’information partagée n’a aucune valeur juridique et ne saurait être suspensive d’une quelconque procédure judiciaire ». «Le Recteur n’a jamais été dans une posture de médiation contrairement à ce qu’il fait croire. Il n’a jamais saisi les organes habilités à conduire une médiation ni invité Jean Alain GOUDIABY pour une quelconque rencontre de conciliation », relève la même source. Mieux, précise la note : «Nous sommes en droit de nous interroger sur les contours de cette vraie fausse médiation qui s’inscrit dans une logique d’enfumage et de diversion ».
Toujours dans le document, l’on s’interroge : «Sur quoi les émissaires autoproclamés se sont-ils entendus ? La plainte de Mamadou BADJI, intuitu personæ ou celle de l’Université aurait-elle vraiment fait l’objet d’un retrait ? Quels sont les objectifs cachés et pour quel agenda de la Direction de la Vie de l’Université et du Service à la communauté ? ». « Qu’il sache que cette affaire ne saurait être un tremplin pour des apprentis James Bond 001 en mal de visibilité et en quête de popularité », préviennent-ils. «Paradoxalement, se désolent-ils, « au moment où on « invite la communauté universitaire, dans ses différentes composantes à travailler à la consolidation de la résilience de l’UASZ , des personnes qui ont osé afficher publiquement leur soutien à Jean Alain GOUDIABY et au département de sociologie font l’objet d’intimidations ouvertes ou voilées ». «Restons mobilisés pour le procès de la honte », ont-ils conclu en chœur.
«Par voie d’huissier, le collègue Jean Alain GOUDIABY recevait une sommation interpellative puis une citation directe à comparaître au tribunal correctionnel de Ziguinchor le 2 novembre 2022 », lit-on dans le texte. Lequel ajoute : «Nous attirons l’attention de toute la communauté universitaire et de l’opinion nationale que la note d’information partagée n’a aucune valeur juridique et ne saurait être suspensive d’une quelconque procédure judiciaire ». «Le Recteur n’a jamais été dans une posture de médiation contrairement à ce qu’il fait croire. Il n’a jamais saisi les organes habilités à conduire une médiation ni invité Jean Alain GOUDIABY pour une quelconque rencontre de conciliation », relève la même source. Mieux, précise la note : «Nous sommes en droit de nous interroger sur les contours de cette vraie fausse médiation qui s’inscrit dans une logique d’enfumage et de diversion ».
Toujours dans le document, l’on s’interroge : «Sur quoi les émissaires autoproclamés se sont-ils entendus ? La plainte de Mamadou BADJI, intuitu personæ ou celle de l’Université aurait-elle vraiment fait l’objet d’un retrait ? Quels sont les objectifs cachés et pour quel agenda de la Direction de la Vie de l’Université et du Service à la communauté ? ». « Qu’il sache que cette affaire ne saurait être un tremplin pour des apprentis James Bond 001 en mal de visibilité et en quête de popularité », préviennent-ils. «Paradoxalement, se désolent-ils, « au moment où on « invite la communauté universitaire, dans ses différentes composantes à travailler à la consolidation de la résilience de l’UASZ , des personnes qui ont osé afficher publiquement leur soutien à Jean Alain GOUDIABY et au département de sociologie font l’objet d’intimidations ouvertes ou voilées ». «Restons mobilisés pour le procès de la honte », ont-ils conclu en chœur.