Madiambal Diagne, président du Groupe Avenir Communication et éditeur du journal "Le Quotidien", a accusé l'architecte et homme d'affaires Pierre Goudiaby Atépa de vouloir "casser" son immeuble situé à Ouakam-Mamelles, dans un communiqué publié sur son compte Twitter.
M. Diagne révèle que la semaine dernière, lors d'une rencontre entre Pierre Goudiaby Atépa et Tufan Fayzi Nsamoglu, un entrepreneur turc et partenaire dans la construction de son immeuble, Atépa aurait exprimé son animosité. Selon Diagne, Atépa a déclaré : « I want to crash that building » (je veux casser cet immeuble) en réponse à une présentation des réalisations de Nsamoglu, dont le projet de Diagne. Le constructeur turc, surpris par cette déclaration, aurait informé Diagne, qui s'est dit choqué mais optimiste, affirmant que, malgré l'influence d'Atépa, le Sénégal est un État de droit.
Le lundi 19 août 2024, une équipe de la Direction de la surveillance et du contrôle des sols (Dscos) a visité le chantier de Diagne pour délivrer une convocation demandant des documents tels que le titre de propriété, les autorisations de construction, et les plans visés. Diagne précise que cette demande a été satisfaite, soulignant que depuis l'achat du titre foncier en 2018, la Dscos a déjà effectué de nombreuses visites au chantier pour vérifier les documents.
Diagne exprime son inquiétude face à ce qu'il considère comme des manœuvres de règlement de comptes. Il dénonce la tentative de sabotage de son projet et se compare à la chanteuse Aby Ndour, qui avait également été confrontée à Atépa pour des différends commerciaux. Diagne conclut en soulignant que, contrairement à Aby Ndour, il ne bénéficie pas du soutien des autorités de l'État et se bat pour défendre ses droits face à des pressions injustifiées.
"La semaine dernière, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa, qui se vante de son influence sur les nouvelles autorités du pays, n’a pas pu dissimuler sa haine à mon endroit. Il recevait Tufan Fayzi Nsamoglu, un entrepreneur turc, un de mes partenaires et constructeur de mon immeuble aux Mamelles/Ouakam. Atepa voulait nouer une relation de partenariat avec Tufan et lui demanda quelques références de ses réalisations. Le constructeur lui cita, parmi ses belles références, le projet en cours de finition que j’ai initié aux Mamelles. Il n’en fallait pas plus pour provoquer l’ire de Atepa : « I want to crash that building », fulmina-t-il. Traduction :
« je veux casser cet immeuble ». Tufan, qui ne trouvait aucune raison qui justifierait ce funeste dessein, s’en ouvrit à moi. J’ai été choqué par la violence du propos mais je restais philosophe, en disant à mon interlocuteur que puissant que puisse être Atepa, nous sommes dans un État de Droit au Sénégal. Seulement, le lundi 19 août 2024, comme par enchantement, une équipe de gendarmes de la Direction de la surveillance et du contrôle des sols (Dscos) est passée au chantier, pour servir une convocation à leurs bureaux pour ce mardi 20 août 2024.
La convocation intime l’ordre de présenter une liste de documents comme : le titre de propriété, les différentes autorisations de construction et les plans visés. Cette demande a été rigoureusement satisfaite. Il est à souligner qu’auparavant, depuis 2018 (année d’achat de ce titre foncier), des équipes de la Dscos avaient eu, plus d’une dizaine de fois, à visiter ce chantier pour réclamer, à chaque fois, toutes sortes de documents qui leurs étaient systématiquement présentés. Je tiens à attirer l’attention de l’opinion publique sur ces manœuvres sordides, mues sans doute par des volontés de règlements de petits comptes.
Assurément, le droit de propriété semble être en péril dans ce pays ! Encore une fois, toutes les personnes, qui pensaient trouver des irrégularités dans un quelconque de mes projets immobiliers, ont fait chou blanc. Aussi, je ne suis nullement concerné par les zones de vérification des projets immobiliers ciblées par les autorités de l’État. C’est peut-être pour cela, qu’on voudrait quitter le littoral pour me chercher des cafards dans l’hinterland.
La chanteuse Aby Ndour a été forte pour tenir tête à Atepa, qui a tout tenté pour détruire son petit commerce sur la Corniche de Dakar. Je m’évertuerai d’avoir autant de pugnacité que cette pauvre jeune femme. Seulement, dans son combat contre Aby Ndour durant de longues années, Atepa n’avait pas bénéficié du soutien des autorités de l’État du Sénégal.
MADIAMBAL DIAGNE
M. Diagne révèle que la semaine dernière, lors d'une rencontre entre Pierre Goudiaby Atépa et Tufan Fayzi Nsamoglu, un entrepreneur turc et partenaire dans la construction de son immeuble, Atépa aurait exprimé son animosité. Selon Diagne, Atépa a déclaré : « I want to crash that building » (je veux casser cet immeuble) en réponse à une présentation des réalisations de Nsamoglu, dont le projet de Diagne. Le constructeur turc, surpris par cette déclaration, aurait informé Diagne, qui s'est dit choqué mais optimiste, affirmant que, malgré l'influence d'Atépa, le Sénégal est un État de droit.
Le lundi 19 août 2024, une équipe de la Direction de la surveillance et du contrôle des sols (Dscos) a visité le chantier de Diagne pour délivrer une convocation demandant des documents tels que le titre de propriété, les autorisations de construction, et les plans visés. Diagne précise que cette demande a été satisfaite, soulignant que depuis l'achat du titre foncier en 2018, la Dscos a déjà effectué de nombreuses visites au chantier pour vérifier les documents.
Diagne exprime son inquiétude face à ce qu'il considère comme des manœuvres de règlement de comptes. Il dénonce la tentative de sabotage de son projet et se compare à la chanteuse Aby Ndour, qui avait également été confrontée à Atépa pour des différends commerciaux. Diagne conclut en soulignant que, contrairement à Aby Ndour, il ne bénéficie pas du soutien des autorités de l'État et se bat pour défendre ses droits face à des pressions injustifiées.
"La semaine dernière, l’architecte Pierre Goudiaby Atepa, qui se vante de son influence sur les nouvelles autorités du pays, n’a pas pu dissimuler sa haine à mon endroit. Il recevait Tufan Fayzi Nsamoglu, un entrepreneur turc, un de mes partenaires et constructeur de mon immeuble aux Mamelles/Ouakam. Atepa voulait nouer une relation de partenariat avec Tufan et lui demanda quelques références de ses réalisations. Le constructeur lui cita, parmi ses belles références, le projet en cours de finition que j’ai initié aux Mamelles. Il n’en fallait pas plus pour provoquer l’ire de Atepa : « I want to crash that building », fulmina-t-il. Traduction :
« je veux casser cet immeuble ». Tufan, qui ne trouvait aucune raison qui justifierait ce funeste dessein, s’en ouvrit à moi. J’ai été choqué par la violence du propos mais je restais philosophe, en disant à mon interlocuteur que puissant que puisse être Atepa, nous sommes dans un État de Droit au Sénégal. Seulement, le lundi 19 août 2024, comme par enchantement, une équipe de gendarmes de la Direction de la surveillance et du contrôle des sols (Dscos) est passée au chantier, pour servir une convocation à leurs bureaux pour ce mardi 20 août 2024.
La convocation intime l’ordre de présenter une liste de documents comme : le titre de propriété, les différentes autorisations de construction et les plans visés. Cette demande a été rigoureusement satisfaite. Il est à souligner qu’auparavant, depuis 2018 (année d’achat de ce titre foncier), des équipes de la Dscos avaient eu, plus d’une dizaine de fois, à visiter ce chantier pour réclamer, à chaque fois, toutes sortes de documents qui leurs étaient systématiquement présentés. Je tiens à attirer l’attention de l’opinion publique sur ces manœuvres sordides, mues sans doute par des volontés de règlements de petits comptes.
Assurément, le droit de propriété semble être en péril dans ce pays ! Encore une fois, toutes les personnes, qui pensaient trouver des irrégularités dans un quelconque de mes projets immobiliers, ont fait chou blanc. Aussi, je ne suis nullement concerné par les zones de vérification des projets immobiliers ciblées par les autorités de l’État. C’est peut-être pour cela, qu’on voudrait quitter le littoral pour me chercher des cafards dans l’hinterland.
La chanteuse Aby Ndour a été forte pour tenir tête à Atepa, qui a tout tenté pour détruire son petit commerce sur la Corniche de Dakar. Je m’évertuerai d’avoir autant de pugnacité que cette pauvre jeune femme. Seulement, dans son combat contre Aby Ndour durant de longues années, Atepa n’avait pas bénéficié du soutien des autorités de l’État du Sénégal.
MADIAMBAL DIAGNE