Alors qu'au Sénégal, le ministre de la Communication, Alioune Sall, dévoile une première liste controversée des médias sélectionnés par ses services, au Tchad, la Cour suprême suspend une décision restrictive de la Haute Autorité des Médias et de l'Audiovisuel (HAMA).
Au Tchad, la Cour suprême a ordonné, jeudi, la suspension d’une décision de la HAMA interdisant la production et la diffusion de contenus audiovisuels par les médias en ligne sans autorisation préalable. Cette décision intervient à quelques jours des élections législatives et locales prévues le 29 décembre.
Le président de la Cour suprême, Samir Adam Annour, a jugé que l’interdiction portait atteinte à la liberté d’expression et privait les citoyens de leur droit à l’information. Cette victoire judiciaire fait suite à une requête déposée par l’Association des Médias en Ligne Tchadiens (AMET), après que le tribunal de grande instance s’était déclaré incompétent.
Bello Bakary Mana, président de l’AMET, a salué cette avancée : « Nous avons gagné la première manche et démontré que le droit est de notre côté. Nous appelons la HAMA à dialoguer avec l’AMET. »
Au Sénégal, la publication de la liste des médias sélectionnés par le ministère de la Communication a suscité une vague de protestations. Les professionnels du secteur dénoncent une procédure opaque et pointent des critères de sélection jugés arbitraires. Cette démarche intervient dans un climat où la régulation des médias fait l'objet de débats sur la transparence et l'équité.
Au Tchad, la Cour suprême a ordonné, jeudi, la suspension d’une décision de la HAMA interdisant la production et la diffusion de contenus audiovisuels par les médias en ligne sans autorisation préalable. Cette décision intervient à quelques jours des élections législatives et locales prévues le 29 décembre.
Le président de la Cour suprême, Samir Adam Annour, a jugé que l’interdiction portait atteinte à la liberté d’expression et privait les citoyens de leur droit à l’information. Cette victoire judiciaire fait suite à une requête déposée par l’Association des Médias en Ligne Tchadiens (AMET), après que le tribunal de grande instance s’était déclaré incompétent.
Bello Bakary Mana, président de l’AMET, a salué cette avancée : « Nous avons gagné la première manche et démontré que le droit est de notre côté. Nous appelons la HAMA à dialoguer avec l’AMET. »
Au Sénégal, la publication de la liste des médias sélectionnés par le ministère de la Communication a suscité une vague de protestations. Les professionnels du secteur dénoncent une procédure opaque et pointent des critères de sélection jugés arbitraires. Cette démarche intervient dans un climat où la régulation des médias fait l'objet de débats sur la transparence et l'équité.