Le président Bassirou Diomaye Faye a abordé la question sensible des poursuites potentielles à l’encontre de son prédécesseur, Macky Sall. En affirmant son engagement ferme envers la reddition des comptes, le chef de l’État a rejeté toute interprétation politique de ces démarches, soulignant l'importance de l’égalité devant la justice.
« Je ne fais pas une fixation sur Macky Sall, mais je ne suis pas au-dessus de la loi. Ce pays a été géré pendant douze ans, et chacun devra répondre de ses actes », a-t-il déclaré, assurant ainsi qu’aucune personnalité, quelle que soit sa position ou son passé, ne serait épargnée si des irrégularités étaient constatées.
Le président Diomaye Faye a précisé que son approche ne serait ni partisane, ni sélective. « Quand un opérateur économique est visé, cela semble normal ; mais dès qu’il s’agit d’un homme politique, on crie au règlement de comptes », a-t-il déploré. Il a insisté sur le fait que « la reddition des comptes ne doit épargner personne », réaffirmant ainsi sa volonté d’appliquer une justice équitable, indépendamment des statuts ou des affiliations politiques des personnes concernées.
Le président a assuré qu’une approche rigoureuse et impartiale serait adoptée dans l’examen des gestions passées. « Toutes les gestions seront passées au crible. Des enquêtes seront menées, et là où les faits l’exigeront, la justice suivra son cours », a-t-il ajouté, laissant entendre que l'avenir judiciaire de Macky Sall dépendra des conclusions des enquêtes.
Cette déclaration, fermement ancrée dans le principe de transparence, marque un tournant dans la gouvernance de Diomaye Faye, qui se veut déterminé à assainir la gestion des finances publiques et à restaurer la confiance dans les institutions de l'État.
« Je ne fais pas une fixation sur Macky Sall, mais je ne suis pas au-dessus de la loi. Ce pays a été géré pendant douze ans, et chacun devra répondre de ses actes », a-t-il déclaré, assurant ainsi qu’aucune personnalité, quelle que soit sa position ou son passé, ne serait épargnée si des irrégularités étaient constatées.
Le président Diomaye Faye a précisé que son approche ne serait ni partisane, ni sélective. « Quand un opérateur économique est visé, cela semble normal ; mais dès qu’il s’agit d’un homme politique, on crie au règlement de comptes », a-t-il déploré. Il a insisté sur le fait que « la reddition des comptes ne doit épargner personne », réaffirmant ainsi sa volonté d’appliquer une justice équitable, indépendamment des statuts ou des affiliations politiques des personnes concernées.
Le président a assuré qu’une approche rigoureuse et impartiale serait adoptée dans l’examen des gestions passées. « Toutes les gestions seront passées au crible. Des enquêtes seront menées, et là où les faits l’exigeront, la justice suivra son cours », a-t-il ajouté, laissant entendre que l'avenir judiciaire de Macky Sall dépendra des conclusions des enquêtes.
Cette déclaration, fermement ancrée dans le principe de transparence, marque un tournant dans la gouvernance de Diomaye Faye, qui se veut déterminé à assainir la gestion des finances publiques et à restaurer la confiance dans les institutions de l'État.