À l’occasion de la 150e Assemblée de l’Union interparlementaire (UIP) tenue à Tachkent, en Ouzbékistan, le Président de l’Assemblée nationale du Sénégal, El Malick Ndiaye, a livré un discours fort en engagements et en valeurs humanistes, au nom du Sénégal et de son Président, Bassirou Diomaye Faye. Dans une intervention saluée par ses pairs, il a appelé à une mobilisation parlementaire internationale pour un monde plus juste et plus équitable.
Dès l'entame, le PAN a tenu à remercier les autorités ouzbèkes « pour l’accueil remarquable et convivial réservé à ma délégation et à moi-même depuis notre arrivée dans ce magnifique pays, riche de son histoire et de sa culture », avant de transmettre « les salutations fraternelles de Bassirou Diomaye Faye, Président de la République du Sénégal, ainsi que celles de l’ensemble du peuple sénégalais ».
Le thème de cette 150e Assemblée, consacré à « l’action parlementaire en faveur du développement social et de la justice sociale », a été jugé « d’une pertinence sans commune mesure » par le chef du Parlement sénégalais, estimant qu’il interpelle les parlementaires du monde entier « sur notre responsabilité collective à bâtir des sociétés humaines plus justes et plus équitables ».
Dès l'entame, le PAN a tenu à remercier les autorités ouzbèkes « pour l’accueil remarquable et convivial réservé à ma délégation et à moi-même depuis notre arrivée dans ce magnifique pays, riche de son histoire et de sa culture », avant de transmettre « les salutations fraternelles de Bassirou Diomaye Faye, Président de la République du Sénégal, ainsi que celles de l’ensemble du peuple sénégalais ».
Le thème de cette 150e Assemblée, consacré à « l’action parlementaire en faveur du développement social et de la justice sociale », a été jugé « d’une pertinence sans commune mesure » par le chef du Parlement sénégalais, estimant qu’il interpelle les parlementaires du monde entier « sur notre responsabilité collective à bâtir des sociétés humaines plus justes et plus équitables ».
El Malick Ndiaye a insisté sur le rôle central des parlements dans cette quête : « Qui, mieux que nous, représentants légitimes des peuples, pour porter ce noble combat essentiel, étroitement lié à la dignité humaine ? »
Dans ce plaidoyer, le Sénégal n’a pas été en reste. Le PAN a affirmé que « les nouvelles autorités ont placé cette question au cœur de leur action, à travers notre Agenda national de transformation Sénégal 2050 », un référentiel qui vise à bâtir « une nation souveraine, juste, prospère, ancrée dans des valeurs fortes, dans une Afrique en progrès ».
El Malick Ndiaye a rappelé que ce programme national vise à faire du Sénégal « l’un des dix pays les plus égalitaires au monde », en augmentant les revenus des travailleurs ruraux, en réduisant les inégalités et en plaçant l’humain « au cœur des politiques publiques ».
Citant un proverbe ouzbek, « Le bonheur d’un pays commence par la justice dans les foyers », il a martelé : « La justice sociale se conçoit et se construit d’abord dans la vie quotidienne au sein des familles, des quartiers, des communautés avant de s’exprimer dans les choix politiques. »
Sur le plan parlementaire, El Malick Ndiaye s’est réjoui de l’exemplarité de l’Assemblée nationale du Sénégal, « paritaire », et comptant « des parlementaires en situation de handicap, malvoyants ou à mobilité réduite », illustrant ainsi « notre engagement résolu en faveur de l’inclusion, de l’égalité des chances et de la diversité ».
Il a également évoqué les chantiers de réformes engagés par l’exécutif sénégalais, parmi lesquels : « l’autonomisation des femmes et des jeunes, la réduction des écarts de rémunération entre les hommes et les femmes, la lutte contre les violences faites aux femmes, la lutte contre la corruption, la protection des lanceurs d’alerte, et le renforcement de l’équité territoriale ».
Fidèle à son style direct, le président de l’hémicycle sénégalais a mis en garde contre « un ordre international dominé par des règles unilatérales imposées par les plus puissants, au mépris de l’équité et de la solidarité », soulignant que « la stabilité de notre monde repose sur un développement réellement inclusif ».
Enfin, dans un moment fort du discours, El Malick Ndiaye a évoqué la situation dramatique dans la bande de Gaza. « Face à une crise humanitaire d’une ampleur inédite », a-t-il déclaré, « notre silence, en pareille circonstance, s’apparenterait à une forme de complicité. »
Le Sénégal, a-t-il rappelé, est resté fidèle à son engagement aux côtés du peuple palestinien. Il a ainsi lancé un appel solennel pour que l’Union interparlementaire « adopte une position claire et ferme, et qu’elle œuvre en faveur de la cessation immédiate des hostilités, de l’accès sans entrave à l’aide humanitaire, et de la relance d’un véritable processus de paix au Proche-Orient ».
C’est sur un vibrant « Rahmat ! Rahmat ! Rahmat ! » « merci » en ouzbek que le président de l’Assemblée nationale du Sénégal a clos son intervention, saluée par une ovation debout dans l’hémicycle de Tachkent.
Dans ce plaidoyer, le Sénégal n’a pas été en reste. Le PAN a affirmé que « les nouvelles autorités ont placé cette question au cœur de leur action, à travers notre Agenda national de transformation Sénégal 2050 », un référentiel qui vise à bâtir « une nation souveraine, juste, prospère, ancrée dans des valeurs fortes, dans une Afrique en progrès ».
El Malick Ndiaye a rappelé que ce programme national vise à faire du Sénégal « l’un des dix pays les plus égalitaires au monde », en augmentant les revenus des travailleurs ruraux, en réduisant les inégalités et en plaçant l’humain « au cœur des politiques publiques ».
Citant un proverbe ouzbek, « Le bonheur d’un pays commence par la justice dans les foyers », il a martelé : « La justice sociale se conçoit et se construit d’abord dans la vie quotidienne au sein des familles, des quartiers, des communautés avant de s’exprimer dans les choix politiques. »
Sur le plan parlementaire, El Malick Ndiaye s’est réjoui de l’exemplarité de l’Assemblée nationale du Sénégal, « paritaire », et comptant « des parlementaires en situation de handicap, malvoyants ou à mobilité réduite », illustrant ainsi « notre engagement résolu en faveur de l’inclusion, de l’égalité des chances et de la diversité ».
Il a également évoqué les chantiers de réformes engagés par l’exécutif sénégalais, parmi lesquels : « l’autonomisation des femmes et des jeunes, la réduction des écarts de rémunération entre les hommes et les femmes, la lutte contre les violences faites aux femmes, la lutte contre la corruption, la protection des lanceurs d’alerte, et le renforcement de l’équité territoriale ».
Fidèle à son style direct, le président de l’hémicycle sénégalais a mis en garde contre « un ordre international dominé par des règles unilatérales imposées par les plus puissants, au mépris de l’équité et de la solidarité », soulignant que « la stabilité de notre monde repose sur un développement réellement inclusif ».
Enfin, dans un moment fort du discours, El Malick Ndiaye a évoqué la situation dramatique dans la bande de Gaza. « Face à une crise humanitaire d’une ampleur inédite », a-t-il déclaré, « notre silence, en pareille circonstance, s’apparenterait à une forme de complicité. »
Le Sénégal, a-t-il rappelé, est resté fidèle à son engagement aux côtés du peuple palestinien. Il a ainsi lancé un appel solennel pour que l’Union interparlementaire « adopte une position claire et ferme, et qu’elle œuvre en faveur de la cessation immédiate des hostilités, de l’accès sans entrave à l’aide humanitaire, et de la relance d’un véritable processus de paix au Proche-Orient ».
C’est sur un vibrant « Rahmat ! Rahmat ! Rahmat ! » « merci » en ouzbek que le président de l’Assemblée nationale du Sénégal a clos son intervention, saluée par une ovation debout dans l’hémicycle de Tachkent.