Quatre ans après avoir fait grand bruit, l’affaire de la "jet setteuse" Rangou refait surface devant le tribunal correctionnel de Dakar. Ce dossier, qui avait défrayé la chronique en 2020, a été renvoyé au 5 décembre 2024 pour retour de citation.
D’après le journal "Les Échos", Fatoumata Barry, alias Rangou, est poursuivie pour « association de malfaiteurs, prostitution, proxénétisme, diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs, défaut de carnet sanitaire et violation de la loi sur l’état d’urgence ».
Ancienne animatrice de Sen TV, Rangou n’est pas seule dans cette affaire. Aïssatou Ndiaye, alias Aïcha Ndiaye, fait également face aux mêmes charges. Le duo avait été placé sous mandat de dépôt après avoir organisé une fête baptisée "Yendu Party" le 27 mai 2020 à l’hôtel Ngor Timis, en pleine période de restrictions dues à la pandémie de Covid-19.
Les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (DIC), ayant infiltré le réseau de Rangou, avaient arrêté les deux femmes ainsi que Fatou Diouf, Kiné Ndiaye, Mame Fatou Diop, Alima Sy, et neuf hommes. Toutefois, seules Rangou et Aïcha Ndiaye avaient été incarcérées, tandis que les autres prévenus étaient placés sous contrôle judiciaire. Tous sont poursuivis pour « association de malfaiteurs » et « violation de la loi sur l’état d’urgence », rappelle "Les Échos".
D’après le journal "Les Échos", Fatoumata Barry, alias Rangou, est poursuivie pour « association de malfaiteurs, prostitution, proxénétisme, diffusion d'images contraires aux bonnes mœurs, défaut de carnet sanitaire et violation de la loi sur l’état d’urgence ».
Ancienne animatrice de Sen TV, Rangou n’est pas seule dans cette affaire. Aïssatou Ndiaye, alias Aïcha Ndiaye, fait également face aux mêmes charges. Le duo avait été placé sous mandat de dépôt après avoir organisé une fête baptisée "Yendu Party" le 27 mai 2020 à l’hôtel Ngor Timis, en pleine période de restrictions dues à la pandémie de Covid-19.
Les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (DIC), ayant infiltré le réseau de Rangou, avaient arrêté les deux femmes ainsi que Fatou Diouf, Kiné Ndiaye, Mame Fatou Diop, Alima Sy, et neuf hommes. Toutefois, seules Rangou et Aïcha Ndiaye avaient été incarcérées, tandis que les autres prévenus étaient placés sous contrôle judiciaire. Tous sont poursuivis pour « association de malfaiteurs » et « violation de la loi sur l’état d’urgence », rappelle "Les Échos".